Nous refusons de vendre toute activité en lien avec au moins une des dérives citées ci‑dessous. Un travail de longue haleine qui fait partie de notre ADN. Ne faisons pas du tourisme un outil de destruction !
Nous refusons de vendre toute activité en lien avec au moins une des dérives citées ci‑dessous. Un travail de longue haleine qui fait partie de notre ADN. Ne faisons pas du tourisme un outil de destruction !
Urbanisation, développement routier, multiplication d’activités…
Gestion de l’eau, des énergies…
Déchets (plastique), pollution chimique (crème solaire)…
Émission de Gaz à effets de serre surtout à cause de l’avion
Le piétinement, le ramassage et l’introduction d’espèces invasives
Les impacts sont intensifiés
« Tant que les lions n’auront pas leur propre conteur, l’histoire de la chasse glorifiera toujours le chasseur. »
proverbe zimbabwéen, extrait du livre «Lion hearted», Dr Andrew LOVERIDGE
est ce que vaut l’abattage d'un lion
augmentation de l’importation d’espèces de chasse aux trophées depuis 5 ans
corridas sont organisées en France
il reste entre 3000 et 10 000 singes magots contre 17 000 il y a 30 ans !
tigres en milieu sauvage, et bien plus en captivité !
ours d’Asie en milieu sauvage et déclin jusqu’à 60%
le kilo de bile d’ours vendu pour servir l’industrie pharmaceutique traditionnelle chinoise.
des loutres sont en danger d’extinction en Asie du Sud Est
reptiles est mencé d’extinction dans le monde
C’est ce que parcourent les dauphins chaque jour dans les océans, peuvent plonger à 200 m de profondeur et passent - 20% du temps à la surface de l’eau.
C’est la perte de l’espérance de vie des cétacés en delphinarium. Pour une orque, elle est divisée par 6!
des dauphins décèdent après 24 h de captivité
Quand vous visitez un parc avec des animaux sauvages, essayez de savoir si c’est un refuge ou un zoo.
Des éléphants tués par le phajaan
C’est ce que doit boire un éléphant chaque jour.
C’est la limite de ce que peut porter un éléphant.
chevaux, ânes, mulets et chameaux sont maltraités et forcés à travailler dans des conditions extrêmes, sur Petra.
C’est la limite de ce que peut porter un âne, et sur les côtés.
Évitez de faire un tour en calèche sauf si vous êtes sûr du bien‑être des chevaux.
Les ânes ne sont pas adaptés à être montés; il peuvent porter des charges sur le côté seulement. À Santorin, ne jamais monter avec les ânes par les escaliers mais à pieds ou en téléphérique. Vous pouvez, par contre, visiter sur le haut de l’île une association de protection des ânes qui luttent contre cette maltraitance.
C’est la distance de l’animal minimum à respecter : zone de vigilance dans lequel les perturbations générées par une embarcation (présence, bruit et gaz d’échappement) sont fortement ressenties par les animaux.
C’est la limite pour la zone interdite. En deçà, les cétacés percevraient votre présence comme un danger ou une intrusion dans leur espace vital, et leur comportement en serait fortement perturbé.
L’observation de la faune peut entraîner un stress pour les animaux et modifier leur comportement naturel lorsque les touristes s’approchent trop près.À l’île Maurice, comme sur d’autres îles, on harcèle les dauphins, sans limite (distance, nage, période ...).
En République dominicaine, certains opérateurs agissent de même avec les baleines.
En Polynésie française, la mise à l’eau est automatique avec des baleines exténuées à jeun et avec leurs baleineaux.
Les interactions avec les animaux marins dont mise à l’eau nuisent à leur quotidien (capacité de sociabilisation, chasse pour s’alimenter, repos, …). Chaque fuite ou interaction est une dépense d’énergie considérable.
On pense souvent à notre « petite échelle » mais ces interactions (et encore plus le nourrissage) sont nombreuses, augmentent et modifient le comportement de ces espèces (instinct de survie, dépendance, …).
Notre proximité peut favoriser la transmission de maladies (idem crème solaire nocive) et elle même peut être dangereuse pour les voyageurs.
C’est pourquoi, dans de nombreux sanctuaires marins (ex : Pelagos en Méditerranée), la mise à l’eau avec la faune marine est interdite.
En Afrique ou ailleurs, certains chauffeurs pratiquent le hors piste et l’excès de vitesse, pourchassant les animaux ce qui cause stress et accidents de route. La proximité peut aussi créer une agressivité chez certains animaux (éléphants…).
Aux Bahamas les cochons nageurs ont été soûlés et nourris avec des chips par des touristes.
Le nourrissage des requins cause de nombreux accidents, excitant les requins sur certains spots (watching, cage) : le shark feeding.
Le nourrissage des raies, ours, singes … de manière continue ou avec des aliments inadaptés engendrent une proximité donc des difficultés de cohabitation et une dépendance à l’humain.
Aux Canaries, une plage qui accueillait des tortues marines a été submergée de touristes qui les nourrissaient tant et mal que ces tortues sont toutes mortes.
cochons nageurs morts en février 2017
C’est l’augmentation de selfies avec des animaux sauvages en quelques années.
Quelques dates :
Cernés par des centaines de touristes, ils meurent déshydratés ou à cause d’un surplus de stress.
En Amérique centrale et du sud, des locaux proposent des photos avec des paresseux qu’ils enlèvent de leur milieu pour les touristes en quête de selfies.
On l’a vu la maltraitance a lieu partout pour se faire photographier avec animaux sauvages : tigres drogués, lionceaux, sur un éléphant, tenir un guépard en laisse,...
Les étoiles de mer meurent asphyxiées quand elles sont sorties de l’eau.
chiens tués pour la viande en Chine et sont revendus aux touristes (sous couvert de poulet).
En Asie du Sud‑Est, certains restaurants et ventes à la sauvette vous proposent du chien, du chat ou du rat sous couvert de poulets.
En Indonésie, on visite des fermes de fabrication de café, fabriqués à partir d’excréments de civettes en captivité.
De jeunes singes terrifiés sont gardés enchaînés, dressés de façon cruelle et forcés de grimper aux arbres pour cueillir noix de coco utilisées pour lait, l’huile et d’autres produits.
Les transports aériens, routiers et ferroviaires ne cessent d’augmenter en raison du nombre croissant de touristes et de leur plus grande mobilité. En fait, le tourisme représente plus de 60 % de l’ensemble des voyages aériens.
Une étude a estimé qu’un seul vol transatlantique aller‑retour émet près de la moitié des émissions de CO2 produites par toutes les autres sources. C’est‑à‑dire éclairage, chauffage, utilisation de la voiture,… consommées par une personne moyenne chaque année – c’est une statistique assez choquante !
Vous pouvez, vous aussi, vous amuser grâce par exemple au site de l’ADEME de calculer votre empreinte carbone. À mon avis, vous serez vite très embarrassée de constater que vos émissions sont BEAUCOUP plus élevées que ce que vous supposez…
Quoi qu’il en soit, la pollution atmosphérique due au transport touristique a des répercussions à l’échelle mondiale. Tout ceci notamment en raison des émissions de CO2 liées à l’utilisation de l’énergie dans les transports. Cela peut contribuer à une grave pollution atmosphérique locale. Elle contribue également au changement climatique.
Heureusement, grâce aux progrès technologiques dans le domaine de l’aviation, des avions et des carburants plus respectueux de l’environnement sont utilisés dans le monde entier. Même si le problème est loin d’être réglé. Si vous voulez vraiment contribuer à sauver l’environnement, la solution consiste à rechercher d’autres moyens de transport et à éviter de trop prendre l’avion.
Aussi, vous pouvez chercher des moyens de compenser votre empreinte carbone.
A vari dire, la pollution sonore causée par les avions, les voitures, les bus (+ les motoneiges et les jet‑skis, etc.) peut être source de gêne, de stress et même de perte d’audition pour les humains. Elle est de plus source de détresse pour la faune et peut amener les animaux à modifier leur mode d’activité naturel. Ayant enseigné pendant plusieurs années dans une université située à proximité de l’aéroport de Londres Heathrow, ce sujet a toujours suscité l’intérêt de mes étudiants et a constitué un choix populaire de sujet de dissertation.
Étoiles de mer, coquillages....sont pêchés pour remplir les boutiques de souvenirs.
Prélever du milieu naturel ou acheter des produits issus du milieu naturel nuit à l’écosystème.
Chaque achat doit être réfléchit, dans son quotidien comme en voyage.
C’est ce que rapporte l’industrie pharmaceutique chinoise, par an.
Urbanisation, développement routier, multiplication d’activités…
Gestion de l’eau, des énergies…
Déchets (plastique), pollution chimique (crème solaire)…
Émission de Gaz à effets de serre surtout à cause de l’avion
Le piétinement, le ramassage et l’introduction d’espèces invasives
Les impacts sont intensifiés
La construction des hébergements et le développement des axes routiers, d’infrastructures et d’activités côtières ont induit :
L’urbanisation intensive d’hôtels de masse a aussi corroboré cet impact, en ignorant souvent le milieu sans composer avec lui. Le développement des marinas et des brise‑lames ont pu entraîner des modifications des courants et des côtes et ont dégradé et détruit certains milieux. Les animaux peuvent être déplacés de leur habitat et le bruit de la construction peut les perturber.
👉 Nous ne proposons pas d’hébergements qui ne respectent pas leur environnement
C’est le taux de croissance de l’urbanisation estimé par an
des voyageurs choisissent leur lieu de voyage en fonction du milieu naturel environnant.
sont protégées, selon le Centre mondial de surveillance de la conservation de l'UICN et du PNUE (=20 millions de km2).
des océans de la planète sont protégés, malgré des progrès remarquables (=15 millions kms²= taille Russie).
C’est ce qu’un touriste consomme pour 1 nuit
Une piscine consomme 50 à 200L/ baigneur
La salle de sport consomme 300 à 500m3/an
énergétiques d’un hôtel.
La surexploitation d’espèces sauvages : surpêche, déforestation, braconnage… est un véritable fléau pour la biodiversité. La production alimentaire par l’excès de viandes et poissons et le gaspillage alimentaire est le secteur économique ayant le plus grand impact sur la biodiversité, contribuant à ce jour à 60 % de la perte totale de biodiversité.
L’eau est une ressource vitale pour l’ensemble du vivant. Mais nous en manquons de plus en plus et le touriste a tendance à consommer plus d’eau en vacances, notamment la douche plus longue qu’à la maison.
Les charges électriques d’un hébergement sont le chauffage (31%), la climatisation (15%), l’eau chaude (17%), l’éclairage (12%).
👉 Nous proposons des repas végétariens en option et collaborons avec des hébergements qui respectent leur environnement
La crème solaire est une pollution chimique; elle participe au blanchissement des coraux, est nocive pour la faune marine en général à cause de filtres UV et toxiques (l'oxybenzone, l'octinoxate, l'octocrylène) au point que certains pays interdisent certaines crèmes solaires (Hawaiï, Palaos).
👉 Prenez un t‑shirt en Lycra et une crème solaire non nocive pour les coraux; ex : Alphanova sun, mon coup de cœur ❣, Niu, laboratoire Biarritz, EQ evoa. Nous offrons une crème solaire pour tout voyage sauvage en bord de mer.
Tout finit en mer : plastique, mégots…ils polluent l’eau et blessent la faune marine; 8 touristes sur 10 visitent des zones côtières. Le plastique est un fléau, il se désagrège en particules ingérées par des animaux, avant d’être consommés.
👉 Il faut éviter un maximum de déchets dans la valise. Nous boycottons les bouteilles en plastique et offrons une gourde à votre disposition.
Le plastique à usage unique est un moyen efficace et économique de se conformer aux normes d’hygiène, pour les hôtels et croisières déversés en eaux usées (microplastiques) dans les océans.
👉 Nous collaborons avec des hébergements qui évitent le plastique et minimisent les déchets.
Dans l’Himalaya, le tourisme transforme la montagne en poubelle ! En effet, ces écosystèmes en très haute altitude sont fragiles et la gestion des déchets dans ces conditions est ingérable.
👉 Nous ne proposons pas de voyages dans ces conditions extrêmes.
crème solaire déversées chaque année dans les océans.
suffisent pour qu’1/4 de la crème solaire se déverse dans l’eau.
des coraux sont menacés par les filtres solaires et en même temps, 25% des espèces marines dépendent du corail.
de plastique chaque année se déversent dans les océans, si bien que nous ingérons l’équivalent d’1 CB (5g) par semaine !
de plastique produits chaque année, dont 2/3 à courte durée, et a été multipliée par 22 au cours des 50 dernières années.
du plastique est fabriqué à partir de substances chimiques provenant de sources polluantes et non renouvelables.
L' impact "négatif" du voyage est avant tout généré par les émissions carbone du transport aérien.
Toutefois, nous pensons que s'il est important de toujours en avoir conscience, le voyage a aussi un impact positif à la fois sur notre regard au monde (relativité, positivité, ouverture d'esprit...).
Le tourisme est surtout un levier de développement environnemental et social, il offre un moyen financier de protéger notre biodiversité et favorise les populations locales.
Avoir conscience de son empreinte carbone en voyage, c’est bien, mais l’avoir au quotidien c’est mieux ☺️. Des petites geste quotidiens qui ont leur importance 🌱
Voyager doit être un acte réfléchi, un rêve qui se prépare et un projet qui se façonne pour avoir le temps de se déconnecter. Prendre le temps de s’immerger dans la nature, de profiter de chaque moment, de découvrir intensément chaque région et partager avec les populations locales. Avoir le temps de participer à des activités à impact positif.
👉 C'est pourquoi, nous avons choisi de nous engager localement aussi sur notre impact carbone.
Le prélèvement et l’importation d’espèces animales ou végétales a des conséquences souvent irréversibles sur les écosystèmes, où elles deviennent des espèces invasives. Elles peuvent provoquer la disparition des espèces natives voire endémiques de plusieurs manières : hybridation, prédation, transmission de maladies, etc.
Le piétinement par les touristes mais surtout les transports prélève de nombreuses espèces (corail, herbiers, herbes, fleurs, plantes, coquillages…). Par exemple, l’ancrage endommage ou tue le corail et les herbiers; ceci ayant ensuite un impact sur tout l’écosystème marin. Le prélèvement de sable, de roches, de pierres pour le BTP a des conséquences sur l’érosion…
des extinctions sont partiellement ou totalement (16%) dûes aux EEE.
Équivaut aux dépenses mondiales occasionnées par les Espèces Exotiques Envahissantes.
des touristes se concentrent sur 5 % des espaces dans le monde.
Voyagent par an à l’international et augmentent chaque année.
de touristes en plus sur la planète (= 60 X qu’en 1950 et + 133 % en 20 ans).
Les touristes privilégient souvent les mêmes périodes de l’année (vacances scolaires) et les mêmes zones du monde avec une prédilection pour les sites naturels (en premier lieu, les zones littorales).
Le secteur a bénéficié de l’essor de la mondialisation et des progrès technologiques qui ont rendu le voyage plus accessible : baisse des prix des billets, simplicité de réservation par Internet, l’économie collaborative…
Les dommages causés par une quantité ingérable de personnes sur des lieux inadaptés sont plus importants lorsque les visiteurs sont en pleine nature, au contact de la flore et de la faune. C’est le cas au Machu Pichu ainsi que dans d’autres destinations et attractions bien connues. Des quotas sont souvent mis en place pour réguler.
👉 Nous évitons les lieux et périodes surfréquentés et ne proposons pas de voyages en groupes supérieurs à 12 personnes en nature et 8 avec les animaux sauvages.
"Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains." Léonard de Vinci
« Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires. » Boris Cyrulnik
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