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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Découvrez l'univers des bovidés

Le buffle

Le buffle est un « boeuf sauvage ». Caractérisé par sa force et son allure imposante, il fait partie des Big 5. Les mâles adultes pèsent jusqu'à 900 kg pour 1,70 m. Un seul prédateur ose s’attaquer à cet animal : le tigre en Asie et le lion en Afrique, mais uniquement à des individus vulnérables. Grands, forts et musclés, les buffles peuvent faire des pointes jusqu'à 50 km/h. Puissants, ils se défendent en chargeant avec leurs cornes. À force d'être pourchassé par l'homme, cet animal de nature calme a appris à défendre sa peau, et ses cornes de la convoitise des hommes.

Cousins des bisons et des bovins domestiques, les buffles sont grégaires et peuvent être dangereux. Dans les forêts, les buffles vivent en groupes de 3 ou 4 individus, alors que ceux des forêts claires et savanes se rassemblent jusqu’à plusieurs centaines (moins en saison sèche). En dehors de la saison de reproduction, les combats sont très rares.

Pendant la saison sèche, la recherche des points d'eau constitue la raison principale de leurs déplacements, mais aussi une tension élevée aux abords. Chaque animal boit rapidement, il peut boire 40 litres en 6 minutes !

Mais leur survie est incertaine dans plusieurs régions. Par exemple, le buffle Tamarau aux Philippines « en danger critique » sur la liste rouge de l'UICN mais depuis 2015, les effectifs ne cessent de grandir.

Les principale menaces qui pèsent sur le buffle, sur la liste rouge des espèces menacées :

  • le braconnage (viande et trophée de chasse). Quand une espèce est rare, son prix grimpe en flèche.
  • la fragmentation de son habitat, lié à l’expansion agricole
  • les zoonoses : peste bovine
  • l’hybridation avec les buffles d’Asie domestiques 
  • L’élevage intensif : l’élevage de buffles sauvages est plus rentable que celui des bovins domestiques (habitudes alimentaires modulables, adaptation, résistance)

Il représente un formidable levier de préservation des sols et du climat grâce au pâturage :

Une façon créative de préserver les espèces animales et leur environnement : réintroduire le buffle sur les pâturages européens (à l’instar des bisons). Cette espèce vivait en Europe centrale il y a environ 120 000 ans et s'est éteinte à l’état sauvage pour revenir en tant qu'animal domestique il y a 800 ans.

L'ecotourisme permet d'organiser des actions de protection et de sensibiliser les voyageurs et acteurs locaux.

Développons des programmes de conservation autour du buffle, de sa survie à son réensauvagement !

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Le bison

Lorsque l’on songe au bison, on imagine 1000 kg de muscles, des centaines de sabots qui martèlent un sol poussiéreux et de vastes étendues sauvages. Malgré son poids, le bison est un animal rapide et agile même plutôt bon nageur. Le bison ingère 25 kg d’herbe par jour, change de territoire tous les 10 jours environ. Les femelles et les mâles vivent séparément; sauf au moment du rut (août‑octobre). Le bison est plutôt passif mais imprévisible : les Indiens savaient qu'il fallait se méfier des mâles à la queue dressée.

Il existe deux espèces : le bisons d’Europe et le bison d’Amérique, divisée en deux sous‑espèces : le bison des bois et le bison des plaines.

Le bison des plaines vit essentiellement dans les steppes nord‑américaines tandis que le bison des bois et le bison d'Europe occupent des habitats forestiers. Le bison d’Europe est plus grand mais plus mince que celui de son cousin américain. Ses membres sont plus longs et sa tête portée plus haute, car il vit dans les forêts et peut devoir s'élever pour se nourrir. La bosse est moins prononcée, sa toison moins fournie entre les cornes et sa queue recouverte de poils longs.

Autrefois, le bison d’Amérique était le mammifère le plus répandu de la Grande Prairie. Ils sont passés de 60 millions à quelques centaines en 1895. Les colons les ont exterminés. Alors que les Indiens chassaient le bison à l'arc, c'est l'arrivée de l'« homme blanc » qui signa l'arrêt de mort du bison, symbole des indiens. Cela lui a valu d'être l'objet d'une campagne d'extermination comme le célèbre Buffalo Bill : en 18 mois, il en a abattu 6400 ! Les passagers des trains tiraient même sur les bisons, par jeu, de la fenêtre de leur wagon. De 1872 à 1874, 4 millions de bisons furent massacrés. Le tournant du siècle vit la fin du massacre et les premières mesures de protection aux États‑Unis et au Canada. On en compte aujourd'hui plus de 200 000, dans des réserves nationales et des ranchs privés, en majorité dans le PN de Yellowstone.

Mais les bisons, que l'on croit sauvés, sont toujours menacés à cause des maladies, croisements et de la captivité. 

Essentiellement forestier, le bison d'Europe fréquente les forêts et sous‑bois avec des ruisseaux, marécages et clairières. Autrefois dans toute l'Europe, la population du bison décroît mais au Moyen‑Âge : chasse, déforestation et agriculture galopante. Il disparaît en 1942. Quelques survivants en captivité ont permis de protéger le bison dans l’entre deux guerres. Aujourd'hui, l'espèce peut être considérée comme sauvée de l'extinction et compterait plus de 6000 bêtes, dont 4000 en liberté ou semi‑liberté, dans 8 pays.

Malgré ces mesures de conservation, l'espèce reste menacée : classée dans la catégorie « en danger » par l'U.I.C.N. Les principales menaces sont : 

  • l’hybridation et l’appauvrissement génétique pouvant causer la consanguinité
  • l'exiguïté de son aire de répartition

Grâce à leur réintroduction, ces bovidés repeuplent progressivement l'Europe à l’instar de son cousin américain, et beaucoup retournent à la vie sauvage, malgré une diversité génétique relativement faible; mais nécessite de prendre de nombreuses précautions.

La réintroduction du bison contribue au climat et façonne les écosystèmes. Quand il se couche sur sol, il crée des bauges, créant des flaques d’eau faisant boire les autres; et leurs poils dispersent le pollen. Il est considéré comme une espèce clé parce qu’il a des effets sur les autres espèces. Il s’agit aussi d'oeuvrer simplement à la survie du bison pour conserver la diversité. C’est pourquoi, le bison est le symbole du réensauvagement.

Protégeons les bisons c’est aussi protéger nos sols, notre climat, notre planète.

Le boeuf musqué

Le bœuf musqué (mâle) tient son nom de glandes parfumées au musc, à côté des yeux. À la saison des amours, les mâles se frottent les pattes avec ce parfum pour plaire aux femelles. Bien qu'il ressemble à un bovin, il est plus proche des chèvres mais mesure jusqu’à 1,40 m, avec des cornes très épaisses sur le dessus du crâne, en forme de casque. Le bœuf musqué vit dans les régions proches du pôle nord, protégé par son épaisse fourrure, cet animal ne supporte pas les températures supérieures à 10°C! Avec leurs sabots avant plus larges et aiguisés, les bœufs musqués sont capables de racler la neige ou de briser la glace pour manger herbes et mousses sous la neige. 

Animal grégaire, il vit en troupeaux (dizaines d'animaux) et sait organiser sa défense. Formant ainsi, un cercle autour de leurs petits, les forts font front à l'assaillant. Chaque femelle n'a qu'un seul petit tous les deux ans environ. Mais, contrairement à la plupart des animaux, un grand nombre de petits survivent, ce qui compense ce faible nombre. Hormis l’Homme, le principal prédateur du bœuf musqué est le loup arctique et parfois le grizzli et l’ours blanc.

  • Comme les mammouth avant eux, son avenir est mal envisagé à cause du changement climatique : 

- manque de nourriture : ils se nourrissent toute l'année en chassant la neige à grands coups de sabots. Mais les températures augmentant, la neige se fait pluie et ne gèle qu'une fois au sol, emprisonnant l'épilobe, le carex et les diverses herbes dont il se nourrit. Ils naissent de plus en plus petits dans le grand nord, leurs mères peinant à trouver de la nourriture.

- l’humidité provoque chez eux des rhumes mortels.

- à cause des caprices météorologiques, beaucoup sont morts noyés dans la glace, alors que des rafales de vents repoussaient la glace et les eaux gelées vers l'intérieur des terres, au point que des poissons ont été retrouvés à 800 mètres du rivage. 

- la montée du niveau de la mer rend ces épisodes de plus en plus importants et communs. Mais avec la montée du niveau de la mer qui menace déjà les villages côtiers, on le verra de plus en plus.

Ces effets sont visibles dans les lieux reculés, à l’intérieur des terres aussi. En 2003, un fort épisode de fonte des neiges causé par des précipitations importantes a tué 20 000 bœufs morts de faim ! 

  • Des projets de domestication ont été menés en Alaska, Québec. Puis, entre 1983 et 1986, le nombre d'animaux relâchés est passé de 148 à 290, à un rythme de 25 % par an, et en 2003, on estimait à 1 400 le nombre de bœufs musqués au Québec. Des élevages ont été tentés avec succès en Europe et en Amérique du Nord, mais, trop coûteux, ils ont été arrêtés.
  • Le bœuf musqué est traditionnellement chassé par les esquimaux pour sa viande et sa laine encore aujourd’hui

Les caribous, contrairement aux bœufs musqués, migrent et sont donc plus à même de voyager pour trouver de la nourriture. Les lemmings vivent dans des tunnels sous la neige, donc à moins que le temps soit à ce point mauvais que la glace fasse s'effondrer les tunnels, ils ne connaîtront pas le même destin que les bœufs musqués. En revanche les lièvres d'Amérique seront eux aussi vraisemblablement touchés par la raréfaction de la nourriture.

Protégeons le boeuf musqué, intrinsèquement lié au changement climatique.

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Canada

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Etats‑Unis (Alaska)

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Afrique du Sud

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Le gnou

Le gnou est un animal grégaire et herbivore. Il ressemble à la fois à une antilope avec ses grandes pattes fines qui lui permettent de courir très vite, au cheval par sa corpulence, sa crinière et sa queue et au taureau avec sa tête, ses cornes et sa charge imprévisible et brutale dès qu'il se sent menacé. Il mesure plus d’1m. au garrot et pèse plus de 250 kgs. Les gnous sont plutôt sédentaires, sauf si la nourriture devient insuffisante. Ils effectuent alors les célèbres migrations saisonnières avec une vitesse de 40 km/h en croisière sur de longues distances. La femelle du gnou est encore appelée la maroufle, et les petits sont des gaous (en février).

Les gnous sont la proie de nombreux prédateurs : lions, hyènes, lycaons, léopards, guépards, crocodiles… Et de l’homme : 

  • Braconnage et viande de brousse : les cornes sont parfois utilisées (sculpture, « médecine traditionnelle asiatique »)
  • Les animaux atteints de maladies, jeunes, blessés, âgés
  • Perte et dégradation de son habitat : urbanisation, réchauffement climatique (raréfaction des points d’eau),..

Autrefois, le gnou noir était comme le gnou bleu un grand migrateur. Néanmoins, leur aire de répartition désormais réduite fait que ces animaux sont maintenant devenus plus sédentaires.

Protégeons les gnous et leur habitat por préserver tout un écosystème.

L’oryx

Les oryx forment un genre d’antilopes de la famille des bovidés. Reconnaissables à leurs cornes (jusqu’à 127 cm) longues et droites, pointant vers l'arrière (chez les 2 sexes). Ils ont une hauteur de plus d’1m. au garrot et pèsent jusqu’à 200 kg. Bien adaptés à la vie dans le désert, les oryx sont capables de se passer d’eau pendant une longue période et peuvent supporter une forte augmentation de leur température corporelle. Ils sont de nature assez craintifs. 

Ils vivent dans des déserts, semi‑déserts (zone de sable aride mais avec des arbres, des buissons, des plantes et de l'herbe), steppes, zones rocheuses, dunes de sable s’élevant jusqu'à 1 200 mètres d'altitude. Ils sont répandus en Afrique, dans la savane et la péninsule arabique, où ils ont disparu (chasse) avant d'être réintroduits. 

L’ Oryx d’Arabie est en statut vulnérable selon l’IUCN alors que l’oryx gazelle n’est pas menacée. 

Dès le début du 20e siècle les populations d’oryx d’Arabie ont régressé sous la pression humaine à cause des :

  • armes à feu et des véhicules à moteur
  • zones urbaines et l’élevage (agriculture et aquaculture)
  • la chasse 
  • sécheresses…

Frôlant l’extinction, l’espèce fit l’objet de réintroduction en 1978 en Jordanie puis en Oman. En Oman, la réintroduction d’une population sur une zone protégée gardée par la tribu locale (Les Harasis) a atteint 400 individus en quelques années. Suite à une importante sécheresse, ces populations se sont déplacées entrant en conflit avec l'homme et entraînant du braconnage qui s'est traduit par un arrêt du programme. 

La population de l’oryx gazelle en Afrique est stable, grâce aux réserves protégées. Chassé à outrance, l’espèce a bien failli disparaître.

Continuons de préserver cet animal emblématique plein d’espoir.

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Oman

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Namibie

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Botswana

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Afrique du Sud

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Zimbabwé

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Kenya

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Thaïlande

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Bhoutan

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Cambodge

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Le saro et le goral

Le saro est un caprin, entre une chèvre et une antilope asiatique qui regroupe 6 sous espèces : le saro (serow) d’Indochine, du Japon, de Sumatra, de Taïwan, d’Himalaya et de Carmin (Birman). Les saros sont proches des gorals mais de plus grande taille. Comme eux, on les trouve souvent broutant sur des reliefs rocheux, mais généralement à des altitudes inférieures. Ils sont en effet plus lents et moins agiles que leurs homologues. Alors que les saros du continent aiment vivre sur les versants chauds, humides et broussailleux, le goral, le saro du Japon et le saro d’Himalaya préfèrent les pentes boisées recouvertes de neige, assez agiles, capables de monter rapidement les pentes abruptes et enneigées.

Le saro d’Himalaya est classé vulnérable, vit au Bangladesh et Himalaya (Bhoutan, Inde, Népal et Myanmar). Le saro de Chine est actuellement considéré comme une espèce moyennement menacée, selon l’IUCN. Le saro d'Indochine est quasi‑menacé et vit dans le sud de la Chine, en Birmanie, Cambodge, Laos, Thaïlande et Vietnam. Le saro du Japon n'est actuellement pas considéré comme une espèce menacée. Voici les menaces peuvent peser sur eux :

  • la chasse pour la viande, la fourrure et les organes sont très prisés par les populations locales chinoises, laotiennes et vietnamiennes à des fins alimentaires et médicinales. Le saro du Japon était très menacé jusqu'aux années 1950. Une fois le braconnage éradiqué en 1959, la population y a de nouveau augmenté
  • la perte d'habitat : à cause de l'expansion agricole, des activités forestières, de la déforestation et du défrichement des terres. Au Japon, le gouvernement a mis en place le contrôle des saros en 1990

  • l’'exploitation forestière, de la chasse, des mines terrestres et autres munitions laissées par le conflit au Cambodge

  • les épidémies

La législation a réussi à réduire la chasse en Thaïlande et est également protégé au Myanmar. Actuellement, la législation cambodgienne régit l'utilisation et la gestion des forêts et de la faune, et prévoit des sanctions en cas de contravention. Toutefois, ce projet de loi n'est que provisoire et inapplicable. En Chine, l'espèce est présente dans de nombreux parcs nationaux où elle est bien protégée. Au Vietnam, le saro de Chine n'est pas inclus dans la liste des 38 espèces couvertes par des conventions de protection, ce qui fait qu’elle peut être chassée ou capturée.

Protégeons ces caprins asiatiques et leurs milieux

Le gaur

Le gaur ou seladan, gayal ou mithan sont des bovidés d’origine asiatique. Leur robe est sombre allant du noir au brun rouge foncé. Les pattes ont une coloration blanche évoquant des bas. Ils pèsent moins d’une tonne et mesurent env. 2m au garrot. Cornus et imposants, ils sont devenus nocturnes sur certaines zones où la présence de l’homme les dérange. Alors qu’ils dépendent de l'eau pour boire, ils ne semblent ni se vautrer ni même se baigner. Ils vivent surtout en Inde, à l’extrême Est du pays, Indochine en passant par le Tibet et la Chine. 

Domestiqué, on l’emploie comme bête de somme ou pour produire de la viande. Voici les principales menaces :

  • la chasse, le braconnage, en particulier pour les trophées (corne), mais aussi la viande
  • la diminution des habitats
  • les épidémies qui frappent le bétail ont fortement réduit leur effectif (peste bovine, fièvre aphteuse)

Il figure parmi les espèces en danger par l’UICN. Aujourd'hui, il reste environ 20 000 gaurs sauvages qui vivent dispersés et isolés les uns des autres dans des régions très limitées. En Inde, 90% de la population y vit, dans des réserves.

Protégeons les gaurs sauvages

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Le bouquetin

Le Bouquetin appartient à la famille des caprins. Sorte de chèvre sauvage, il est trapu et possède de courtes mais solides pattes, un cou large et des yeux assez écartés. Il mesure environ 80 cm au garrot et pèse entre 65 et 100 kgs. La caractéristique la plus frappante chez le bouquetin mâle réside dans ses cornes. Le mâle est appelé bouc, et éterlou quand il est jeune. La femelle est appelée étagne, et éterle quand elle est jeune. Elle est petite et plus fine que le mâle mais la différence principale réside dans la longueur des cornes. Ces dernières sont en effet beaucoup plus courtes (20–30 cm maxi). Le petit est appelé cabri Jusqu’à 1 an environ. Les cornes constituent une clef de détermination des sexes, mais aussi de l'âge d'un individu. Herbivore, le bouquetin est un animal essentiellement diurne, s'activant avant le lever du soleil et les premières heures du jour, et le soir avant la tombée de la nuit. Le reste du temps, il se prélasse sur des terrasses herbeuses bien exposées au soleil. Les bouquetins forment des hardes séparant mâles et femelles, sauf en période de rut.

C’est une espèce rupicole vit principalement dans les montagnes, en Europe, en Asie et en Afrique. Il apprécie particulièrement l’altitude et les murailles abruptes, les falaises à pics ou les parois escarpées. Les principales menaces qui pèsent sur l’espèce :

  • La faible diversité génétique 
  • Les maladies
  • L’abattage dû aux conflits avec les activités humaines
  • Le changement climatique

Il a failli disparaître au XIX siècle avant de bénéficier de programmes de réintroduction. L’espèce est aujourd’hui hors de danger.

Protégeons les bouquetins dans leur habitat naturel

L’isard

L'isard, ou izard, appartient à la famille des caprins, assez fréquente dans la chaîne de montagnes sud européenne. Il fait partie du même genre Rupicapra que le chamois des Alpes; il est plus lourd d'une dizaine de kgs, a un pelage d'été plus roux et un pelage d'hiver plus clair agrémenté d'un collier de poils noirs au niveau du cou. Les cornes forment un crochet plus ouvert (souvent > 45°) que celui du chamois. Il mesure env. 70 cm, pèse entre 20 et 40 kgs et vit une vingtaine d’années. Les cornes sont présentes pour les deux sexes. Il se déplace par hardes menées une femelle. Les mâles adultes vivent en solitaires. Ils ne se rassemblent qu'en octobre et en novembre, à l'époque du rut, qui provoque une activité menant certains d'entre eux au seuil de l'épuisement. Le cabri naît à la fin du printemps, en juin après une gestation de 23 semaines et est sevré à 6 mois. 

Il est présent en Espagne, en France (Pyrénées) et en Italie. La chasse intensive a longtemps menacé l’espèce (jusque dans les années 1960).

 Il a failli disparaître, mais il a pu être sauvé grâce à la création de zones protégées comme les Parcs Nationaux, et différentes réintroductions. Aujourd’hui, l'espèce est stable voire en expansion mais sujette à des épisodes de pandémies (epizooties) qui peuvent la fragiliser.

Créons des zones protégées pour protéger les isards.

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