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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Quand partir ?

Le loup

Le loup est l’ancêtre du chien, dont certains présentent des caractéristiques et personnalités proches. C’est un animal sociable qui vit en meute dont un couple alpha qui domine. D’une intelligence et d’une capacité d’adaptation remarquables, le loup recolonise l’Europe. 

En France, le nombre de loups augmente mais reste une espèce menacée et suscite de nombreux débats, le gouvernement a annoncé l’augmentation de quotas d’abattage de loups en adéquation avec celle d’attaques de troupeaux. Qui aurait cru que celui qui est à l’origine du meilleur ami de l’homme, pourrait être abattu par celui qui l’apprivoisait il y a 35000 ans ?
En Italie, la problématique n’est pas aussi présente : le loup n’a jamais disparu et fait partie de l’Histoire. En Roumanie, les coûts de main d’œuvre rendent la protection des troupeaux plus aisée. En Espagne, peu nombreux donc peu de problèmes, contrairement à l’ours, où le débat est plus mitigé.

Aux USA, certes le loup gris des Rocheuses est protégé mais connaît un taux de mortalité plus élevé. Pourtant, des élus veulent le retirer de la liste des espèces en danger et en autoriser la chasse. Les défenseurs de l’environnement ne cessent de déplorer un recul environnemental, notamment en matière d’exploitation de réserves de combustibles fossiles dans les P.N. ou la protection des espèces. Heureusement, leur forte présence sur le parc Yellowstone facilite leur observation en milieu sauvage.

Le loup à crinière ne vit qu’en Amérique du Sud, surtout au Brésil et peu présente dans son ensemble.
Les menaces qui pèsent sur lui :

  • conflits dûs à la cohabitation : représailles, abattage …
  • destruction et fragmentation de son habitat causée par l’exploitation humaine (agriculture intensive) et ses conséquences : intoxication aux métaux lourds, accidents de voiture...

Trouvons des solutions de cohabitation entre le berger et le loup et participons à sa préservation.

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USA

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Italie

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France

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Inde

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Le loup himalayen

Les loups vivant dans l’Himalaya sont actuellement considérés comme une sous-espèce du loup gris mais devraient être reconnus comme une espèce à part entière d’après des chercheurs.

 

Le loup à crinière ne vit qu’en Amérique du Sud, surtout au Brésil et peu présente dans son ensemble.
Les menaces qui pèsent sur lui :

  • conflits dûs à la cohabitation : représailles, abattage …
  • destruction et fragmentation de son habitat causée par l’exploitation humaine (agriculture intensive) et ses conséquences : intoxication aux métaux lourds, accidents de voiture...

Trouvons des solutions de cohabitation entre le berger et le loup et participons à sa préservation.

Le chacal

Le chacal appartient à la famille des canidés. C’est un animal sociable qui vit en famille comprenant un couple monogame et leur petits. Chaque famille contrôle, marque et surveille un territoire. Adaptable et opportuniste, Il se nourrit principalement de charognes et de fruits et chasse de petites proies. Le chacal se reconnaît par sa fourrure de couleur fauve parsemée de gris. De par sa physionomie, il ressemble plus au renard, mais en réalité il possède les mêmes caractéristiques que le loup. Excellent chasseur, il allie la rapidité du chien à l’agilité du renard. Les chacals occupent une niche écologique semblable à celle du coyote en Amérique du Nord. Le chacal a inspiré la mythologie égyptienne (Anubis) ou hindoue (Kali), la symbolique de la mort. Le chacal représente aussi l'intelligence dans les cultures populaires.

Le chacal, originaire du Moyen-Orient et d’Asie, migre vers le Nord et l'Ouest de l'Europe depuis 1950. Ces 20 dernières années, sa migration s'est accélérée. Il vit aujourd’hui en Afrique, en Asie et en Europe. Le chacal doré est l’espèce de chacal la plus largement répartie et la plus connue. Il préfère les grands espaces, les plaines arides et les paysages de steppes.

À l’exception de quelques espèces, notamment le chacal de Simien, le chacal n’est pas une espèce menacée. Le chacal doré connaît une forte expansion car il est peu chassé, très adaptable, très opportuniste, et s’adapte bien à l’envahissement des milieux naturels par les activités humaines. Il est bien répandu sur l’ensemble de son aire de répartition et son avenir ne provoque pas d’inquiétude. 

Toutefois, les chacals peuvent affecter les humains de façon négative : destruction des cultures et attaque des troupeaux de moutons, propagation présumée de maladies (peste, rage, pollution génétique), ce qui finit par dégénérer en conflits. Ils sont souvent tués dans les pièges et à l’aide de cadavres empoisonnés, dans le cadre de campagnes visant à éradiquer tous les petits carnivores, particulièrement en Afrique du Sud et en Namibie. Heureusement, il n’y a pas d’utilisation commerciale du chacal doré en Afrique, considéré comme un « nuisible ».

Cet animal peut être domestiqué lorsqu’il est élevé en captivité. Il devient alors “casanier” et se comporte comme les chiens, à un point près : il est très timide devant des étrangers et ne se laisse pas caresser par ces derniers.

Mais le chacal a un rôle écologique à jouer : 

  • Il permet de se débarrasser des charognes et des carcasses d’animaux morts dans la nature ou aux alentours des villes et des villages.
  • il aide l’agriculture en régulant la population de rongeurs.

Communiquons le role écologique des chacals auprès des locaux

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Afrique du Sud

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Ouganda

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Thaïlande

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Tanzanie

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Afrique du Sud

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Kenya

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Le lycaon

Le lycaon est un canidé, appelé aussi « chien sauvage d’Afrique » ou « loup peint ». Le Lycaon est le seul canidé qui ne possède que 4 doigts à chaque patte et de grandes oreilles rondes munies de poils qui empêchent les parasites d'y entrer. Son crâne rappelle celui de la hyène, avec une large mâchoire pour satisfaire son besoin alimentaire particulièrement carnassier. Son poids se situe entre 20 et 30 kg et sa taille, entre 70 et 80 cm au garrot. Les taches ou « peintures » sont singulières à chaque individu. Son territoire est immense et il est plutôt nomade. Comme le loup, le lycaon est très sociable et vit en meute constituée de 5 à 20 individus, dont un couple alpha qui domine.

Les lycaons sont classés comme en danger sur la liste rouge. Au début du XXème siècle, on estime que 100 000 lycaons peuplaient le continent africain. Aujourd’hui, les effectifs de l’espèce s’élèvent à environ 5000 individus. L’espèce est classée « en danger » d’extinction. Plusieurs menaces : 

  • Le lycaon a été victime d’une chasse intensive jusqu’aux années 1970, car « nuisible ».
  • Aujourd’hui, la principale menace est la dégradation de son habitat et le rapprochement avec l’humain (maladie de Carré, maladie de chiens domestiques, collisions). C´est la cause de 44% décès entre 2002-2017
  • Les conflits avec les fermiers et éleveurs ne sont pas résolus. 
  • le réchauffement climatique : moins de chasse car les animaux cherchent leur habitat

Des associations en lien avec les populations locales se sont laissées convaincre que les lycaons ne représentaient pas un danger pour eux et, mieux, qu’ils pouvaient alimenter l’écotourisme. Des panneaux de signalisation ont également réduits de 50% les collisions avec les véhicules, et des colliers ont été posés sur plusieurs spécimens afin d’étudier les migrations et d’en déduire les zones propices aux réintroductions. Les résultats de ces investissements n’ont pas tardé à se faire sentir : au Zimbabwe, le nombre de lycaons est passé de 350 à 750 en une vingtaine d’années. Des tentatives de réintroduction ont eu lieu en Namibie mais les meutes n’ont pas survécu.

Aidons à améliorer la réputation de ce canidé et sensibilisons les populations pour le protéger.

Le dhole

Le dhole, appelé aussi « chien sauvage d’Asie » ou « chien rouge », a le gabarit d’un chien de taille moyenne, mais avec un museau plus court et un pelage plutôt roux. Il s'apparente au loup ou au lycaon car il s'adapte facilement à de nouveaux environnements. Il mesure jusqu’à 1 m de long, 55 cm de haut et peut peser 25 kg. Sa queue mesure environ 40 cm de long et son extrémité est noire. Il possède 40 dents, à la différence de la plupart des autres canidés qui en ont 42. Les dholes vivent en groupes (env. 40 individus). Cet animal évite les territoires où l'être humain est présent et est difficile à observer.

Il vit principalement en Asie centrale et orientale. I s’est éteint en Europe au début du Paléolithique sup. Les dholes ont disparu des 3/4 de leur aire. Les menaces :

  • la fragmentation du territoire et la perte d'habitat : l'exploitation forestière, de palme, les plantations de caoutchouc, l'expansion de l'agriculture, le pâturage du bétail et l'expansion de grandes infrastructures (par exemple, les barrages hydroélectriques, les projets d'irrigation, de nouvelles routes, etc.)
  • l’épuisement des proies
  • la transmission des maladies canines et compétition avec les autres espèces.

L'espèce est classée comme espèce en danger par l’UICN car ses populations sont en diminution et estimées à moins de 2 500 adultes.

Protégeons les dholes pour qu’ils puissent reconquérir leur territoire paisiblement.

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Thaïlande

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Canada

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USA

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Le coyote

Le coyote est un canidé, proche du loup gris, mais plus petit que son cousin. Appelé aussi « chacal américain », le coyote occupe pratiquement la même niche écologique que le chacal doré en Eurasie, mais il est plus gros et davantage prédateur. La couleur de leur fourrure est principalement gris clair et roux, entrecoupée de noir et blanc. Le coyote a une organisation sociale très flexible (famille ou non). Il est carnivore (cerfs, lapins, rongeurs, poissons…) mais aussi fruits et légumes. Il existe 19 sous espèces de coyotes. 

Le coyote est un personnage proéminent de la culture américaine et prend des allures farceuses, un peu lâches aussi comme Bip Bip le Coyote. Le coyote a des prédateurs comme les cougars et les loups gris. Malgré cela, ils s'accouplent parfois avec des loups produisant des hybrides appelés «coyloups ».

Le coyote n’est pas considéré comme espèce menacée par l’UICN en raison de sa répartition étendue et de son abondance dans toute l'Amérique du Nord et plus au sud, jusqu’au Panama !

L'espèce est polyvalente, capable de s'adapter et de se développer dans des environnements modifiés par les humains. Son aire de répartition est en expansion, et arrive dans les zones urbaines.

Sauvons la réputation de cet animal résilient

Le dingo

Le dingo (ou warrigal) est une sous espèce de canidés qui descend du loup gris domestiqué par l'homme puis retourné à l'état sauvage (marronnage). Arrivés en Australie, il y a plus de 4000 ans, les dingos vivent dans l'arrière-pays. Ils mesurent plus de 50 cm de haut et plus d’1m de long et peuvent peser 20 kg. Ces animaux aux oreilles dressées, à la queue recouverte de poils durs, sont généralement roux mais parfois aussi noirs avec des taches blanches et rousses, ou bien totalement blancs. Ils vivent en meutes de 10 individus, mais sont souvent vus seuls. Ils sont rapides (38 km/h - 65 km/h max) et endurants. Ils n’aboient pas, mais éternuent bruyamment lorsqu'ils se sentent menacés. Ce sont des prédateurs très opportunistes, qui se nourrissent de proies variées et même de fruits. Comme le loup, le dingo s'attaque à une faune très diverse (des lapins aux kangourous). 

Leur aire de répartition : Asie du Sud-Est et Australie. Les dingos asiatiques sont plus petits que les australiens. En Asie du Sud-Est, les dingos modernes vivent la plupart du temps dans de petites poches de forêts naturelles, et dans le nord d’Australie. 

Le marronage a eu un impact écologique en causant certainement la disparition de plusieurs espèces. Les dingos ont ainsi évincé du continent les carnivores indigènes comme le thylacine (ou loup marsupial) et le diable de Tasmanie, si bien que ces deux espèces ont totalement disparu d'Australie. Puis, les dingos ont été fortement chassés, avec l'arrivée des colons occidentaux.

En 2004, l’UICN a classé l'animal dans la catégorie « vulnérable » de sa liste rouge. Voici les principales menaces :

  • L'hybridation des dingos avec les chiens sauvages a commencé avec l'arrivée des chiens domestiques amenés par les colons à la fin du XVIIIe siècle : 90% des dingos actuels sont croisés
  • la cohabitation avec l’homme : prédation du bétail, 
  • Le braconnage légal : l'utilisation du poison 1080 par l'État australien, ainsi que les « bounties » (primes de chasse) autorisées pour la vente de sa peau

Une clôture immense (Dingo fence) a été créée dans les années 80 pour empêcher les dingos d’attaquer le bétail. Mais de nombreuses attaques sur des humains ont été signalées, notamment sur les enfants. Ils n'ont pratiquement aucun ennemi naturel. Le dingo constitue un maillon clé de l'écosystème puisqu’il est le plus grand prédateur terrestre du pays. Il chasse les chats, les renards et même les chèvres, qui ont été rapportés par les colons européens et dont il faut contrôler les populations. En limitant les populations de leurs proies et leurs compétiteurs subordonnés, les prédateurs du haut de la chaîne peuvent moduler la diversité d’un système, et à long terme, augmenter la biodiversité à travers une série de liens trophiques. 

Des élevages ont vu le jour. Les petits dingos qui y naissent sont ensuite placés dans des parcs naturels, pour préserver l'intégrité du patrimoine génétique du dingo et maintenir l'équilibre écologique des paysages australiens.  À noter que les Aborigènes se servent du nombre de leurs naissances pour prédire une sécheresse durant l'année à venir : une portée très nombreuse signifie une grande sécheresse (plus de chances de survie, lors des années difficiles).

Aidez-nous à protéger cette espèce endémique, le dingo

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Le renard

Le renard (appelé parfois goupil) est un canidé dont les caractéristiques varient selon les espèces : le plus commun étant le renard roux, puis le renard polaire, nain, véloce, le fennec, gris, pâle, du Cap, de Darwin (Chili)… Il mesure autour de 40 cm pour env. 7 kg. Le regard arctique est plus petit, natif d’Islande, il vit dans les régions arctiques. Il présente un dimorphisme saisonnier. Sa fourrure blanche en hiver lui permet de mieux se fondre dans le décor neigeux et en été, son pelage est brun foncé. Les renards ont une queue touffue très longue, duveteuse, qui lui sert de balancier et lui permet de résister aux basses température (-45°C). Solitaire, timide, opportuniste, il s’adapte aux milieux, devient plutôt nocturne s’il est dérangé et a un régime alimentaire varié : rongeurs, lapins, pêche parfois, insectes et même des déchets humains ! Ainsi, à l’inverse du sanglier, chevreuil, blaireau ou du cerf, il ne cause aucun dommage aux cultures. Le renard arctique s’approvisionne aussi sur les carcasses de phoques et de rennes.

Le renard est un personnage symbolique qui représente l'intelligence et surtout la ruse. Grâce au Petit prince, il est surtout le symbole de la liberté sauvage face à l’apprivoisement. Des contes aux légendes : flatteur, fourbe et sournois, ce qui lui a valu d’être si honni et pourchassé. Aujourd'hui, à peu près débarrassé de ses prédateurs naturels que sont le lynx et le loup, l'homme est sa crainte essentielle. Voici les menaces qui pèsent sur lui :

  • la fragmentation de l’habitat : causant des accidents avec les voitures
  • le réchauffement climatique : fait reculer le renard arctique au profit du renard roux. La migration des oiseaux le prive de certaines ressources.
  • la chasse : par les tirs, la chasse à l’arc, le piégeage, le déterrage (effectué en période de reproduction) l’enfumage. Près d’ 1 million de renards tués chaque année en France !
  • l’élevage de fourrure : en 1900, sa fourrure était l'une des fourrures des plus demandées après le vison. Encore aujourd’hui, des renards sont élevés dans des "fermes" pour leur fourrure, passant leur vie dans des cages, s'automutilant et présentant de nombreux signes de stress.
  • le conflit avec l’homme : dégâts occasionnés, concurrence avec les chasseurs, « voleur de poules »…
  • le tourisme menace le renard polaire surtout, à cause du nombre de randonneurs qui approchent les terriers et dérangent la période d’allaitement des petits (mai-juillet).
  • les chiens domestiques : blessures mortelles, dérangements, stress…

  • les maladies : vecteurs de l’échinococcose alvéolaire (par la salive ou les excréments) - seulement dizaines de cas chaque année en France

L’introduction de renards (ex. Australie) contribue à la disparition de plusieurs espèces dans ce pays. Tandis que certains renards sont classés en danger par l’UICN, comme le renard de Darwin. Le renard polaire est bon, à l'exception de la Scandinavie, mais perd du terrain. Quant au renard roux, c’est une sous-espèce résiliente et résistante, qui a pu s'adapter et prospérer dans les zones agricoles et urbaines. Il n’y a guère de surpopulation de renards car elle se régule d’elle-même, en fonction des proies disponibles.

Le renard a toujours une image de « nuisible », même s’il n’est plus classé comme cela mais dans la catégorie “susceptible d’occasionner des dégâts”. Le renard n’est un danger ni pour la santé ni pour la sécurité publique. Face à certaines maladies, certains renards se sont adaptés et se débarrassent de leurs parasites externes (bain). Ils ont même éradiqué certaines maladies comme la rage. Ils nettoient les charognes et régulent la faune en éliminant les individus malades ou inadaptés. Le renard est certes un mangeur de poules et de lièvres, mais il rend de grands services aux agriculteurs et paysans et à toute la chaîne alimentaire : régulation de reptiles, grenouilles et ratons laveurs, de rongeurs en campagne : campagnols, mulots, rats... qu’ils consomment par milliers chaque année. Cela permet de limiter les dégâts que font ces rongeurs aux récoltes, de lutter contre la maladie de Lyme en consommant les rongeurs sur lesquels vivent les tiques, et de limiter leur nombre de contaminés en réduisant leurs déplacements (économie estimée à 3000 € / an).

Pour l’observation du renard polaire, il faudra à donc attendre fin juillet et limiter l’observation des terriers à 5 min., ou de loin à la jumelle. Le renard arctique est une espèce ingénieur, comme le castor car il crée des « oasis de nature ». Chaque tanière est surplombée et entourée d’une tache de végétation plus luxuriante qu’aux alentours (ex : PN Wapusk, visibles d’avion). Le sol y reçoit plus d’excréments, d’urine riches en nutriments, plus la décomposition de restes des proies qui enrichissent aussi le milieu (+ azote et phosphore). Cet effet positif persiste plus d’un an après.

Pour une meilleure cohabitation, il suffit ainsi de fabriquer un poulailler résistant à ses manœuvres habiles. Pour éviter les accidents de routes, il faut multiplier les ecoducs; en milieu sauvage, être attentif à ses chiens pour éviter les morsures sur les renards et protéger les chiens des parasites. Certaines règlementations difficiles à contrôler ont été mises en place par l’Union européenne, le Canada et la Russie pour limiter le piégeage ou la saison de chasse des renards roux. Dans certaines régions du nord de l'Europe, des programmes autorisent la chasse du renard roux dans les anciennes zones de peuplement des renards polaires.

Protégeons le renard, régulateur des écosystèmes

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