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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Créer un impact positif

Agir sur la biodiversité, c’est agir sur le climat

Le climat et la biodiversité sont interconnectés, tout comme le bien‑être animal. Les animaux sauvages font partie d’un écosystème dans lequel ils ont chacun un rôle majeur. Savez‑vous que les baleines aussi séquestrent du carbone ? De l'abeille au requin, toute espèce a son rôle à jouer sur notre planète. Protéger la biodiversité est LA solution aux dérèglements climatiques.

Pour agir sur les gaz à effets de serre, il faut réduire et séquestrer du carbone grâce aux « puits de carbone » : que ce soit les actions de replantations des milieux pour régénérer des écosystèmes ou la réintroduction de ses acteurs comme le réensauvagement, les actions sont multiples. Dans Biodiversité, il y a «diversité», c’est pourquoi, nous avons choisi de multiplier la contribution à la Nature, pour chaque destination et sur des projets différents ! Planter des arbres, c’est bien mais dans certaines zones, l’impact régénératif n’est pas adapté, il vaudra mieux planter des mangroves ou bouturer des coraux… Quant au rôle de la faune sauvage, il est souvent oublié, dénigré malgré les études et faits prouvés de leurs impacts majeurs sur leurs milieux. C’est gratuit, rapide, durable et efficace !

À destination, nous avons développé des partenariats avec des associations de confiance et travaillons avec eux sur chaque destination pour protéger la biodiversité locale. Nous nous engageons, pour chaque voyageur, à travers une participation financière investie localement :

  • Jusqu’à 50 € en classe économique
  • Jusqu’à 75 € en premium et 100 € en classe affaires 
  • Nous proposons au voyageur de faire un don du reliquat calculé si nécessaire (Calcul à 16 euros / TCo2, nous ne sous‑estimons pas le ratio)

Plantation de forêts sous‑marines

Plantation de forêts sous‑marines

Reforestation

Reforestation

Restauration de zones humides

Restauration de zones humides

Conservation des espèces

Conservation des espèces

Réensauvagement

Réensauvagement

Bien‑être animal

Bien‑être animal

Levier social

Levier social

Source d’inspiration

Source d’inspiration

Plantation de forêts sous‑marines

Souvent méconnu et peu protégé, l’océan est le 1er puits de carbone

  • Le phytoplancton est le principal acteur de la séquestration carbone des océans. Ce sont des algues microscopiques qui se multiplient sous l'effet de la photosynthèse mais diminuent à cause du réchauffement climatique. On l’appelle « la pompe biologique », il  produit la moitié de notre oxygène et absorbe environ 100 millions de Tonnes de CO2 par jour ! Il est absorbé par le zooplancton. Tout ça finira dans les sédiments des fonds marins et surtout dans le ventre d’une baleine : 👉 conservation des espèces
  • Les herbiers marins constituent une des principales végétations dans l’océan pouvant même créer des forêts entières, riches et diversifiés. Ils constituent un habitat, de la nourriture, limitent l’érosion des plages et séquestrent aussi le carbone par la photosynthèse. Les herbiers de posidonie (séquestrent 7 fois plus CO2 que les forêts tropicales au km2), les forêts de Kelp (ou varech) peuvent pousser de 60 cm / jour et séquestrent 2 fois plus de CO2 que les forêts). Les grandes algues brunes sont dites « espèces fondatrices » ou « espèces clés de voûte ». Leur répartition :
    • la côte ouest de l’Amérique du Nord et de l’Amérique du Sud,
    • du Canada au Chili (hors zones équatoriales et tropicales),
    • l’Australie, la Nouvelle‑Zélande, et certaines îles de l’Océan austral
  • La barrière de corail (ou récif corallien) est une structure naturelle composée de coraux. Les coraux sont des animaux et leur regroupement constitue une source essentielle de nourriture et un habitat pour des espèces. 50 % étaient déjà en mauvaise santé à la fin du xxe siècle et la dégradation continue malgré les efforts (blanchissement des coraux). Leur répartition :
    • l’Australie : la plus grande (2000 km) mais qui diminue 
    • la Nouvelle Calédonie : 1 600 km
    • le Belize : +1000 km mais la mieux conservée !

Les menaces : l’acidification des océans, la surpêche, l’ancrage des bateaux, la crème solaire, la surpopulation d’herbivores…

Les solutions à impact positif : créer des aires marines protégées, mettre en place des bouées d’amarrage, développer l’écotourisme (plongée respectueuse), développer de nouvelles techniques avec des espèces plus résistantes pour le bouturage des coraux par ex…

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Afrique du Sud

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Polynésie française

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La reforestation

La reforestation, c’est la première solution à laquelle on pense pour la «compensation carbone»

Nous ne croyons pas à la « compensation carbone », c’est du greenwashing, nous croyons à la responsabilisation et à la contribution à la biodiversité. La compensation laisse imaginer un équilibre rendu immédiatement. Or, la séquestration naturelle ne peut être évaluée précisément et un arbre ne séquestre pas de carbone à sa plantation. 

Les sols et forêts recouvrent le tiers de la surface terrestre et constituent le 2eme puits de carbone, après les océans. Ils stockent 3 à 4 fois plus de carbone que l’atmosphère. Le PCAET (décret le n° 2016‑849) reconnaît la contribution des écosystèmes comme puis de carbone.

Les forêts tropicales constituent les écosystèmes les plus importants dans la régulation du climat; mais se réduisent aussi face aux activités humaines. Il y a 3 principales zones de forêts tropicales :

  • le bassin du Congo, le plus important puits de carbone et qui se maintient
  • le bassin de l'Amazone en Amérique du Sud, résultat carbone toujours positif mais qui diminue 
  • l'Asie du Sud‑Est, déficitaire, notamment à cause des plantations d’huile de palme

Les menaces : Les activités anthropiques de déforestation telles que l’agriculture intensive, l’urbanisation, l’industrie du bois génèrent dans les forêts des Gaz à Effet de Serre lorsqu’elles sont dégradées, qui amoindrissent et déséquilibrent leur rôle. 

Les solutions à impact positif : il parait évident que vu l’urgence, l’objectif principal est de maintenir ces forêts, y réduire drastiquement les activités humaines mais on doit aussi restaurer ces forêts, en intégrant des adaptations au changement climatique! De nombreux projets efficients ont vu le jour : la technique du Zaï, la régénération naturelle assistée, la méthode Miyawaki, la gestion de retenue d’eau, la plantation Muruca…

Restauration de zones humides

Les zones humides de notre planète sont les écosystèmes les plus menacés au monde

En même temps, elles ont un rôle majeur dans la séquestration carbone, la lutte contre l’érosion des côtes, l’atténuation des risques naturels, le rafraîchissement des zones, l’approvisionnement en eau propre et un habitat pour de nombreuses espèces. Elles séquestrent 30% du CO2 soit 2 fois plus et séquestrent 55 fois plus vite que les forêts. Mais elles disparaissent aussi 3 fois plus vite que les forêts et comme elles, les zones humides absorbent et séquestrent du carbone mais elles en rejettent aussi ainsi que du méthane, surtout quand elles sont d’eau douce et fragilisées. Les plus grandes zones humides au monde sont:

  • Sibérie occidentale (Russie, Kazakhstan) avec 800 000 km2
  • Le Rio Negro et l’estuaire de l’Amazone, en Amazonie (Brésil) avec presque 700 000 km2 dont 120 000 km2 inscrits RAMSAR
  • le Québec avec la Baie d’Hudson avec 180 000 km2 
  • Le Pantanal (Brésil, Bolivie, Paraguay) avec plus 170 000 km2

C’est un environnement fantastique avec une importance stratégique. L'exploration nautique de ce paysage offre une expérience privilégiée de cet écosystème fragile et de ses animaux sauvages menacés aussi comme les libellules, lucioles, desmans des Pyrénées ou la loutre géante. Définies et protégées par la convention de RAMSAR, ce sont des étendues d’eaux douces, saumâtres ou salées de - 6m de profondeur. Ici, nous exclurons les récifs coralliens et herbiers marins (dans forêts sous‑marines):

  • les zones estuariennes (deltas, marais salants, mangroves)
  • les zones côtières (lagunes, berges rocheuses, dunes, plages)
  • les lacs
  • les rivières, cours d’eau, ruisseaux
  • les zones marécageuses (ou palustres) : marais, marécages et tourbières
  • les eaux souterraines et oasis
  • les zones artificielles ou exploitées : étangs agricoles, rizières et canaux

Les menaces : l’utilisation excessive de produits agrochimiques, l'expansion des cultures, les incendies, la construction d'hôtels, les espèces invasives et le changement climatique sont les principales menaces qui pèsent sur cet écosystème.

Les solutions à impact positif : la conservation et la protection des zones humides et des espèces endémiques. À notre échelle, on peut aussi en prendre conscience et agir.

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Ouganda

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Conservation des espèces

La planète a perdu près de 70 % de la faune sauvage en 50 ans !

La biodiversité décline à une vitesse fulgurante : l’IPBES (équivalent du GIEC pour la biodiversité) dresse un rapport alarmant et l’IUCN parle de +30% d’espèces menacées. Certaines jouent un rôle majeur au sein des écosystèmes naturels; en les protégeant, nous sauvegardons aussi les espèces avec lesquelles elles cohabitent et les milieux qui les abritent. La faune sauvage a même parfois des répressions sur le climat :

  • La baleine : en un siècle, les baleines bleues sont passées de 250 000 à 5000 ! Or, elles absorbent et séquestrent 33 tonnes de CO2 (soit 1 baleine = 1000 arbres env). En savoir plus
  • L’ours polaire est un véritable symbole du réchauffement climatique : parfaitement adapté au climat arctique, sa disparition est étroitement liée à celle la banquise.
  • Le pangolin est un symbole de l’extinction des espèces et du trafic illégal menant à une cohabitation malsaine pouvant causer des maladies; il oscille entre Vulnérable et en danger d'extinction.
  • L’orang‑outan est devenu le symbole de la déforestation en Asie (huile de palme) : 25 orang‑outans disparaissent chaque jour ! Sauver la forêt indonésienne, c’est sauver les orang outans et vice versa. Leur destin sont liés.
  • Le rorqual commun : au sommet de la chaîne alimentaire, il joue un rôle essentiel dans la santé globale des océans.
  • Les requins : les requins‑marteaux ont notamment perdu jusqu’à 80 % de leur population d'origine. Pourtant, en haut de la chaîne alimentaire, leur absence crée un déséquilibre nuisant aux océans.
  • Le lamantin et le dugong : véritables protecteurs des herbiers marins, les 2 espèces sont menacées par les activités anthropiques.
  • Le corail est un animal. Son destin est lié à son habitat : les récifs coralliens et qui abritent une biodiversité incroyable et fragile. Le blanchissement du à l’acidification des eaux est un symbole de l’état des océans.
  • La loutre de mer : il existe une vraie symbiose entre elles et les forêts de kelp (ou varech). Les algues des forêts leur permettent de ne pas dériver quand elles se reposent et les protègent des tempètes. Elles y jouent avec leurs petits et s’y nourrissent. En contrepartie, les loutres mangent énormément d’oursins, brouteurs du varech et la forêt se développe donc mieux en leur présence. La loutre géante dépend elle aussi étroitement des écosystèmes aquatiques qu’elle occupe (Amazonie).

Les menaces :

  • la destruction des habitats naturels : 1ère cause avec la déforestation : menaçant 85% des animaux. L’agriculture intensive (huile de soja, de palme…) remplacent les forêts primaires et secondaires. Des modifications qui privent les animaux de leurs habitats et de leurs nombreuses ressources.
  • la surexploitation des ressources naturelles : la surpêche, le braconnage, le trafic illégal, l’utilisation non durable des ressources naturelles…
  • Les changements climatiques modifient les migrations, les comportements de reproduction… Les incendies et sécheresses à répétition tuent une multitude d’espèces incapables de survivre à certaines températures.
  • La pollution
  • l’introduction d’espèces invasives

Les solutions à impact positif : la préservation de la faune sauvage.

Toute activité ou projet en lien avec une bonne cohabitation entre l’Homme et la faune sauvage, comme l’écotourisme. Quand un animal rapporte plus vivant que mort : le système change et encourage le développement durable des territoires et la préservation du patrimoine naturel.

Le réensauvagement

Le réensauvagement est une solution clé pour la protection de notre planète

Le réensauvagement constitue la réintroduction d’espèces animales sauvages en milieu naturel, dans lequel il avait disparu. Chaque maillon de la chaîne alimentaire est essentiel, les espèces clés de voûte mais aussi les ingénieurs, les prédateurs, les proies. Ces cascades trophiques présentent des fonctions écologiques et services écosystémiques majeurs et gratuits que seule la Nature sait apporter :

  • Les loups : à Yellowstone, ils ont été exterminés créant ainsi une nature défigurée. Leur réintroduction en 1995 a permis la régulation des cervidés, des chacals, des castors et la reforestation naturelle des écosystèmes.
  • Les bisons : leur réintroduction en Europe contribue à l’entretien des prairies par leur poids et leur nombre : piétinement, destruction de branches, troncs, poils, défécation... Des insectes pondent leurs œufs dans les bouses, constituant à leur tour une source de nourriture pour d’autres. Les poils servent de transport aux graines ou de nids. En se roulant par terre, le bison ameublit la terre, ce qui permet aux semences de germer et aux animaux de creuser des terriers. Remplies par la pluie, ces cuvettes fixent les plantes appréciant l'humidité, et forment des abreuvoirs pour d'autres animaux.
  • Les, bœufs musqués, élans, chevaux et rennes : en Sibérie, ils contribuent au climat avec la disparition du pergélisol. Les troupeaux entretiennent, fertilisent avec leurs déjections et tassent, en piétinant la mousse et les arbustes et en arrachant les jeunes arbres. Le piétinement permet d’enterrer le permafrost et ralentit donc le réchauffement climatique. On travaille même à la réintroduction du mammouth…
  • Les vautours : charognards, les vautours fauves notamment sont au sommet des pyramides alimentaires. Dans les écosystèmes, leur fonction écologique principale est l’élimination des cadavres d’animaux, qu’ils soient sauvages ou issus de bétail d’élevage. Un gain de temps et d’argent avec équarrissage naturel qui permet qu’aucune maladie ne se propage.
  • Le castor : après avoir frôlé l'extinction en Europe, il a recolonisé nos cours d'eau (Loire, Rhône et Cévennes). C’est une espèce ingénieur, il aménage et construit son habitat : il « ouvre » de petites clairières inondées, ce qui favorise une biodiversité plus importante et une diversification des habitats. Une grande partie des tourbières de la toundra et des boisements du grand nord n’existeraient pas sans ces castors qui stockent l’eau pour l’été. Ils jouent donc un rôle dans l’équilibre d’écosystèmes comme les zones humides si fragiles.
  • L’ours : réintroduit dans les Pyrénées, il a un effet positif sur son milieu : les poils font circuler les pollens et graines. Et au Canada ou en Russie, les saumons mangés par les ours près des rivières nourrissent le sol de leurs nutriments.

Bouquetins, tortues cistude ont aussi été concernés par ces programmes de réintroduction.

👉 Nous avons suivi une formation sur le réensauvagement et son rôle dans l’ecotourisme pour nous permettre de construire au mieux une offre à impact positif. Nous proposons désormais partenaires pour proposer ces formations en français.

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PACT for Wildlife

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Bien‑être animal

Levier social

Notre objectif est d’améliorer leur état de conservation et celui des écosystèmes qui les hébergent à travers une approche inclusive et en étroite collaboration avec les communautés humaines avec qui elles partagent les territoires...

le tourisme contribue à hauteur de 10% du produit intérieur brut (PIB) mondial (judqu’à 20% en Thaïlande par exemple). la pandémie a causé une perte de plus de 2 000 milliards de dollars pour le PIB mondial rien que sur l'année 2020. En 2021, la contribution économique du tourisme est estimée à 1 900 milliards de dollars, bien loin des chiffres d'avant la pandémie (3 500 milliards). S'ajoutent à cela, des pertes d’emplois substantielles dans le secteur qui emploie actuellement 295 millions de personnes à travers le monde, contre plus de 330 millions en 2019. 

Heureusement, le tourisme a aussi de nombreux impacts positifs : création de millions d’emplois directs dans les pays visités, consommation de produits locaux qui font vivre producteurs et commerçants, ouverture et échanges entre cultures…

En 2009, plus de 70 % des voyageurs français connaissaient la notion de tourisme durable et se disaient prêts à le mettre en pratique. Toutefois, seulement 4 % reconnaissaient avoir déjà acheté des produits ou services relevant du tourisme durable. Dix ans plus tard, 76 % des Français adhèrent à une prise de conscience et à une transformation de l’offre touristique. Un temps de recul permettra de savoir si la crise mondiale de la Covid‑19 renforce ou modifie ces tendances.

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Repenser notre rapport au vivant

Repenser notre rapport au vivant

Biomimétisme

Biomimétisme

Vocation

Vocation

La Nature, source d’inspiration

Les partenaires que nous soutenons

Nous nous engageons à contribuer à la préservation de notre planète à travers une participation financière sur chaque voyage investie localement aux partenaires que vous trouverez ci dessous.

Nous travaillons avec eux sur chaque destination pour protéger la biodiversité locale aussi à travers nos actions de communication.

Association pour concilier le tourisme et la biodiversité
Consulting bien être animal à destination
Consulting international sur la cause animale
Collectivité pour le réensauvagement en Europe
Pyrénées
Ouganda
Thaïlande
Afrique du Sud
Bélize

« Les chiffres sont réducteurs et traîtres, ils trahissent la complexité et la beauté du vivant. Est ce que les symphonies de Beethoven peuvent se résumer à un chiffre ? Or, nos grands dirigeants n’ont que des chiffres et des statistiques » François Sarano


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