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Des éléphants tués par le phajaan
Des éléphants tués par le phajaan
C’est ce que doit boire un éléphant chaque jour.
C’est la limite de ce que peut porter un éléphant.
Pour monter sur un éléphant, il faut le tuer à l’intérieur : rituel le phajaan.
Le cornac (ou mahout), se tient à côté ou sur l’animal, avec un bâton crocheté (bullhook).
En Asie du Sud-Est, les balades à dos d’éléphants sont presque toujours proposées aux touristes.
Dans certains camps appelés aussi orphelinat, sanctuaire,… on propose aussi des spectacles, des interactions excessives avec les éléphants.
De nombreux signes de maltraitance (eau et nourriture insuffisantes, chaînes aux pieds, pics derrière les oreilles …).
En Inde, on peut monter au fort d’Amber sur un éléphant battu et amaigri ou pour chercher le tigre.
Les éléphants sont forcés à porter plus qu’à leur mesure des jours entiers sous un soleil de plomb : une nacelle pèse jusqu’à 100 kg + poids du mahout + le poids des touristes ! Le compte n’y est jamais...
Ne jamais se servir des éléphants comme moyen de transport.
Partir en safari, en trek pour voir les éléphants à l’état sauvage ! Ou peut être aurez-vous la chance de le rencontrer près des routes par hasard. Dans tous les cas, il ne faut pas l’approcher de face, toujours en biais avec un guide professionnel.
Sinon dans un sanctuaire, un vrai, vous pourrez les observer mais évitez tous ceux qui intègrent des interactions (spectacles, prendre le bain avec eux,…). Sur place, vérifiez que le cornac n’ait pas un bullhook et que les éléphants soient libres de leur mouvement. Attendez que l’éléphant vienne à vous plutôt qu’imposer une accolade. Le moment n’en sera que privilégié !
chevaux, ânes, mulets et chameaux sont maltraités et forcés à travailler dans des conditions extrêmes, sur Petra.
C’est la limite de ce que peut porter un âne, et sur les côtés.
En République dominicaine, des balades équestres se font sur des chevaux amaigris voire battus.
Au Moyen-Orient et partout ailleurs, des chevaux s’écroulent, épuisés, près des calèches (violence, nutrition...).
Sur le site de Petra, les équidés sont forcés à monter les escaliers de monastère.
À Santorin, des ânes affamés ne cessent de transporter des personnes au sommet de la falaise, maltraités, affamés, délaissés et exploités toute la saison estivale pour rejoindre Fira. Mais l’âne ou le mulet n’est morphologiquement pas fait pour porter des personnes…
La maltraitance des camélidés au Maghreb et Moyen Orient arrive aussi parfois.
Certains chiens de traîneau peuvent être surexploités ou maltraités : un rythme intense causant des blessures, de mauvaises conditions de captivité…
Dans tous les cas, évitez de monter à cheval sur tous les sites où il y’a beaucoup de monde !
Évitez de faire un tour en calèche sauf si vous êtes sûr du bien-être des chevaux.
Dans tous les cas où un cheval, un camélidé ou un chien de traîneau est votre moyen de transport, il faut vérifier ses conditions de vie (maigreur, sueur, fouet, blessures, rythme…).
À Santorin, ne jamais monter avec les ânes par les escaliers mais à pieds ou en téléphérique. Vous pouvez, par contre, visiter sur le haut de l’île une association de protection des ânes qui luttent contre cette maltraitance.
Tigres en milieu sauvage, et bien plus en captivité !
Le kilo de bile d’ours vendu pour servir l’industrie pharmaceutique traditionnelle chinoise.
Des loutres sont en danger d’extinction en Asie du Sud Est
Les conditions de capture sont souvent horribles. Les animaux terrestres sont enlevés à leur habitat naturel et souvent les parents sont tués.
En Afrique du Sud, des fermes d’élevage de lions proposent aux touristes de caresser des lionceaux avant d’être revendus, adultes, pour des chasses aux trophées.
En Asie, des tigres drogués dans des zoos ou «temples» servent pour les selfies avant de finir en morceau pour la médecine chinoise. Les ours sont élevés pour leur bile, encaissés dans de minuscules cages.
En Indonésie, on visite des fermes de fabrication de café. Les civettes vivent dans de petites cages, ou enchaînées, près de leurs propres excréments.
En Asie et au Moyen Orient, éléphants, ours, coqs, guépards, singes en laisse font le show dans les rues, dans des zoos ou dans des centres commerciaux pour divertir les visiteurs.
Des « charmeurs de serpents » capturent et mutilent les serpents pour charmer le touriste qui croit que le serpent danse mais en réalité, il panique. Terrifié, affamé, enfermé, il s’affaiblit et finira sur le marché noir pour le trafic asiatique après avoir été cloué vivant.
Au Japon, on peut même câliner des loutres, chinchillas ou hérissons dans des bars.
Quand vous visitez un parc avec des animaux sauvages, essayez de savoir si c’est un refuge ou un zoo. Pour cela, renseignez-vous sur la provenance des animaux : est ce indiqué ? D’où viennent-ils ? quelle est leur histoire ? y- at il réhabilitation ?
Évitez les lieux qui vous proposent des interactions directes avec les animaux (donner le biberon aux lionceaux, marcher avec les lions…). Privilégiez les parcs qui ont de vieux animaux, c’est bon signe, et bien sûr, pour les observer de loin. Aucun selfie, aucune caresse ou nourrissage…
N’assistez pas aux spectacles qui intègrent des animaux sauvages.
Ne donnez pas d’argent aux « charmeurs de serpents »; au contraire, vous pouvez leur faire comprendre qu’en tant que touriste, vous ne souhaitez plus voir les serpents en captivité mais vivre dans leur milieu naturel.
Et les animaux sauvages n’ont rien à faire dans des bars !
C’est ce que parcourent les dauphins chaque jour dans les océans, peuvent plonger à 200 m de profondeur et passent - 20% du temps à la surface de l’eau.
C’est la perte de l’espérance de vie des cétacés en delphinarium.
Les conditions de capture et de captivité des animaux marins sont controversées : jeunes, ils sont enlevés à leur habitat naturel. 30 % des dauphins décèdent après 24 h de captivité, selon le Professeur Pilleri. (Ouvrage des dauphins et des hommes – Muriel Teyssier).
Les delphinarium sont même parfois dans des centres commerciaux, notamment à Dubaï et en Asie. Il en existe plus de 200 dans le monde!
Dans les Caraïbes, les delphinarium se vantent d’être en semi liberté mais sont bien en totale captivité malgré le décor.
Des excursions proposent de « nager avec les dauphins» qui sont chevauchés par des personnes agrippant leurs nageoires.
Partout, les dephinariums et aquariums montrent des animaux angoissés (ours polaires, orques, dauphins...) avec des attaques de plus en plus nombreuses. Tous ces animaux présentent des signes de dépression flagrants.
Ne visitez aucun delphinarium meme soit disant en semi liberté, lagon… si l’interaction est garantie, le dressage l’est aussi.
C’est la distance de l’animal minimum à respecter : zone de vigilance dans lequel les perturbations générées par une embarcation (présence, bruit et gaz d’échappement) sont fortement ressenties par les animaux.
C’est la limite pour la zone interdite. En deçà, les cétacés percevraient votre présence comme un danger ou une intrusion dans leur espace vital, et leur comportement en serait fortement perturbé.
À l’île Maurice, comme sur d’autres îles, on harcèle les dauphins, sans limite (distance, nage, période ...).
En République dominicaine, certains opérateurs agissent de même avec les baleines.
En Polynésie française, la mise à l’eau est automatique avec des baleines exténuées à jeun et avec leurs baleineaux.
Les interactions avec les animaux marins dont mise à l’eau nuisent à leur quotidien (capacité de sociabilisation, chasse pour s’alimenter, repos, …). Chaque fuite ou interaction est une dépense d’énergie considérable.
On pense souvent à notre « petite échelle » mais ces interactions (et encore plus le nourrissage) sont nombreuses, augmentent et modifient le comportement de ces espèces (instinct de survie, dépendance, …).
Notre proximité peut favoriser la transmission de maladies (idem crème solaire nocive) et elle même peut être dangereuse pour les voyageurs.
C’est pourquoi, dans de nombreux sanctuaires marins (ex : Pelagos en Méditerranée), la mise à l’eau avec la faune marine est interdite.
En Afrique ou ailleurs, certains chauffeurs pratiquent le hors piste et l’excès de vitesse, pourchassant les animaux ce qui cause stress et accidents de route. La proximité peut aussi créer une agressivité chez certains animaux (éléphants…).
Évitez les activités où il est mentionné « nagez avec » et dans des zones surfréquentées. Parfois, la mise à l’eau est d’ailleurs interdite. Évitez les mises à l’eau s’il y a des petits (saison de mise bas).
Toute mise à l’eau (snorkeling ou plongée) doit se faire lentement, dans des zones isolées, sans jamais toucher ou chercher une approche volontaire avec l’animal.
Les animaux viennent à nous si nous ne les forçons pas.
Choisissez bien votre prestataire de whale watching (label, guide biologiste/naturaliste, pas de pourchasse, durée limitée…) :
👉 Privilégiez les labels « High Quality Whale watching » avec une zone de vigilance et une zone interdite (sauf dans le cas de la venue spontanée des cétacés au bateau) :
Choisissez un bon chauffeur/guide de safari qui ne dérange pas les animaux (approche lente, sur le côté, pas de hors piste (avertir le guide de votre refus si c’tétait le cas).
cochons nageurs morts en février 2017
Aux Bahamas les cochons nageurs ont été soûlés et nourris avec des chips par des touristes.
Le nourrissage des requins cause de nombreux accidents, excitant les requins sur certains spots (watching, cage) : le shark feeding.
Le nourrissage des raies, ours, singes … de manière continue ou avec des aliments inadaptés engendrent une proximité donc des difficultés de cohabitation et une dépendance à l’humain.
Aux Canaries, une plage qui accueillait des tortues marines a été submergée de touristes qui les nourrissaient tant et mal que ces tortues sont toutes mortes.
Ne pas nourrir les animaux sauvages (singes, cochons nageurs, …).
Éviter la nourriture dehors en bivouac.
Ne pas pratiquer le shark feeding.
Chiens tués pour la viande en Chine et sont revendus aux touristes (sous couvert de poulet).
En Asie du Sud-Est, certains restaurants et ventes à la sauvette vous proposent du chien, du chat ou du rat sous couvert de poulets.
En Indonésie, on visite des fermes de fabrication de café, fabriqués à partir d’excréments de civettes en captivité.
De jeunes singes terrifiés sont gardés enchaînés, dressés de façon cruelle et forcés de grimper aux arbres pour cueillir noix de coco utilisées pour lait, l’huile et d’autres produits.
Pourquoi ne pas profiter de votre voyage pour essayer le régime végétarien : bon pour la santé et la planète, vous éviterez aussi les mauvaises surprises.
En Indonésie et Thaîlande, évitez les fermes de fabrication de café et la coco thaïe en boite ou tout dérivé de lait de coco.
C’est ce que rapporte l’industrie pharmaceutique chinoise, par an.
Étoiles de mer, coquillages....sont pêchés pour remplir les boutiques de souvenirs.
Prélever du milieu naturel ou acheter des produits issus du milieu naturel nuit à l’écosystème.
Chaque achat doit être réfléchit, dans son quotidien comme en voyage.
Ne pas prélever du milieu naturel des plantes ou animaux.
Ne pas ramasser ni acheter étoiles de mer, coquillages...
Ne pas acheter de produits liés à la maltraitance animale ou à la perte de la biodiversité (café Kopi luwak, coco thaïe, ivoire, dents de requins,…).
C’est l’augmentation de selfies avec des animaux sauvages en quelques années.
Quelques dates :
Cernés par des centaines de touristes, ils meurent déshydratés ou à cause d’un surplus de stress.
En Amérique centrale et du sud, des locaux proposent des photos avec des paresseux qu’ils enlèvent de leur milieu pour les touristes en quête de selfies.
On l’a vu la maltraitance a lieu partout pour se faire photographier avec animaux sauvages : tigres drogués, lionceaux, sur un éléphant, tenir un guépard en laisse,...
Les étoiles de mer meurent asphyxiées quand elles sont sorties de l’eau.
Ne jamais sortir de son habitat naturel ni toucher un animal pour un selfie (étoiles de mer, cétacés, poissons,…)
Évitez de lui causer du stress ou de le déranger ou de le déplacer pour une simple photo.
Ne pas visiter les parcs où propose un selfie avec un animal sauvage.
crème solaire déversées chaque année dans les océans.
Suffisent pour qu’1/4 de la crème solaire se déverse dans l’eau.
des coraux sont menacés par les filtres solaires et en même temps, 25% des espèces marines dépendent du corail.
La CRÈME SOLAIRE participe au blanchissement des coraux, sans parler de la nocivité sur la faune marine en général à cause de filtres UV et toxiques comme l'oxybenzone, l'octinoxate, l'octocrylène.
Les coraux ont un rôle majeur : habitat de la faune marine, ressources, barrage à l’érosion, réduit les catastrophes naturelles…).
Au point que certains pays interdisent certaines crèmes solaires (Hawaiï, Palaos).
De même, pour les déchets, tout finit en mer : plastique, mégots… ils polluent l’eau et peuvent même emprisonner ou blesser la faune marine.
Choisissez bien votre crème solaire avant de partir si vous comptez aller dans la mer ou l’océan. Elle doit être non nocive pour les coraux. La crème solaire parfaite n’existe pas encore ! Mais certaines crèmes solaires recommandées les moins nocives : Alphanova sun, mon coup de cœur ❣, le laboratoire Biarritz, EQ evoa.
Une crème solaire plus respectueuse des coraux a une base biodégradable.
Il faut absolument éviter un maximum de déchets dès la préparation de sa valise.
"Le jour viendra où les personnes comme moi regarderont le meurtre des animaux comme ils regardent aujourd'hui le meurtre des êtres humains." Léonard de Vinci
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