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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Découvrez l’univers des oiseaux

Le bec en sabot

Ainsi nommé à cause de son énorme bec, qui ressemble à un sabot et qui lui donne une allure préhistorique, le bec en sabot du Nil est particulièrement adapté à la pêche dans les eaux vaseuses et encombrées de végétaux des cours d’eau africains aux abords desquels il vit. Cet oiseau est un échassier et donc caractérisé aussi par sa grande taille et envergure. Il peut peser jusqu’à 7 kgs et mesure 1 mètre environ.

S’il peut se déplacer d’une région à une autre en fonction de la quantité de nourriture disponible, le bec‑en‑sabot n’est pas une espèce migratrice et souffre de la destruction progressive de son habitat naturel. Depuis 2002, le bec‑en‑sabot est classé dans la catégorie A1c de l’Accord sur la conservation des oiseaux d’eau d’Afrique‑Eurasie. On estime en effet que sa population ne dépasserait plus les 8000 spécimens, à l’état sauvage comme en captivité. 

Principale menace : la destruction de son habitat naturel, qu’elle soit due aux activités agricoles ou au réchauffement climatique : 

  • L’assèchement de son milieu naturel
  • le Piétinement des nids
  • la chasse et le commerce illégal (Tanzanie, …)
  • Les catastrophes naturelles (inondations, incendies)

Développer l’éco tourisme dans ces milieux, c’est créer de l’emploi pour les populations locales qui ne nuisent pas à l’habitat de ces oiseaux endémiques et sauver leur espèce.

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Le flamant rose

Les flamants roses vivent en grands groupes (espèces grégaires) et doivent doit leur couleur aux pigments caroténoïdes contenus dans les algues et crustacés qu’il consomme. Les poussins sont de couleur grise et ont un plumage duveteux. Le rose apparaît au cours des années, jusqu'à 4 à 7 ans, où l'intensité est à son maximum. D’après une étude, les flamants roses recouvrent fréquemment leurs plumes d’un composé les protégeant d'une dépigmentation causée par le soleil, ce qui leur permet ainsi de conserver ce rose intense.

Cet oiseau est un symbole d’élégance avec une silhouette et des colorations uniques en Europe. Son bec est courbé et sa morphologie permet la filtration de la vase et de l’eau. Les pattes, longues et fines, sont roses chez l’adulte. Il est capable de dormir debout, sur une ou deux pattes, la tête enfouie sous une aile. 

Les flamants roses vivent généralement dans des lieux tropicaux comme les Caraïbes, l'Amérique du Sud et dans des zones côtières d’Afrique, d’Asie et d’Europe, en France. Ils vivent dans les lagunes, les étangs et les plans d'eau. Les flamants roses voyagent beaucoup pour assurer la subsistance de la colonie, surtout pendant la saison des amours.

Dans les années 1960, la situation était telle que le flamant rose était en danger d’extinction. La mise en place de programmes de protection de l’environnement leur a redonné des endroits propices à la reproduction et la nidation. Aujourd’hui, le baby‑boom notamment dans les salins français est la preuve que le flamant rose a su trouver sa place durablement dans de nombreuses zones du monde. Mieux les connaître ainsi que leurs trajets migratoires permettent sur le long terme de prendre des mesures adéquates pour mieux les protéger.

Protégeons leur habitat

Le pélican

Le pélican est l’un des plus grands oiseaux aquatiques. Sa taille (1,40 à 1,70 m), son envergure (2,70 à 3,60 m) et son poids de 8 à 11 kg en fait l’un des plus grands oiseaux aquatiques. Son gabarit imposant ne l’empêche pas d’accomplir un vol gracieux et rapide, pouvant atteindre 55 km/h. Grégaire, le pélican est une espèce piscicole qui se sert de son long bec comme d’une épuisette pour capturer les poissons en nageant. La durée de vie du pélican blanc est de 20 à 25 ans à l’état sauvage.

Le Pélican blanc vit dans le sud‑est de l’Europe (Grèce et delta du Danube), en Asie (de la Turquie à l’Asie centrale et à l’Inde) et en Afrique tropicale et méridionale. Il fréquente les abords des milieux aquatiques et humides, les lacs peu profonds, les marais, les roselières, les estuaires, les lagunes côtières et les marécages pourvus d'une épaisse végétation. En hiver, il se rapproche des côtes pour rejoindre les baies abritées, les lagons et les deltas.

Le pélican blanc n’est pas considéré comme une espèce menacée sur l’ensemble de son aire de répartition. Il est classé en préoccupation mineure par l'UICN. Toutefois, ses effectifs se réduisent à cause de :

  • l'assèchement des zones humides qui lui fournissent l'essentiel de sa nourriture (mise en culture des terres, extraction de l'eau…).
  • la destruction de son habitat de nidification et du dérangement 
  • la pollution des eaux
  • la concurrence avec les pêcheurs : les stocks de poissons ont été pillés, et gardés jalousement
  • les lignes à haute tension et la contamination au DDT

Les pélicans ont été exploités par l’homme : dans le Sud‑Est de l’Europe, leur poche a servi à confectionner des blagues à tabac et des étuis ou tués pour leur graisse. En Asie (Inde, Chine), il aurait des propriétés médicinales tandis que leurs plumes et leur peau servent à faire des ornements et du cuir. Les activités humaines (l’agriculture et son expansion), ont été la cause principale de la régression des espèces. La domestication par appât de la nourriture est courante sur les jetées ou même dans les parcs urbains. 

Leurs fientes (guano) sont riches en phosphates et constituent un engrais de qualité.

Protégeons‑les ainsi que leur habitat 

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Le vautour

Le terme “vautour” désigne les espèces de rapaces diurnes nécrophages, il existe une vingtaine d’espèces dans le monde réparties en Europe, en Afrique, en Asie et en Amérique du Sud. Chaque espèce présente des caractéristiques physiques différentes, mais toutes ont une tête dépourvue de plumes dû à leur manière de s’alimenter.

Certaines espèces de vautours vivent de manière grégaire quand d’autres sont sédentaires ou vivent en petits groupes familiaux.

Malheureusement, quelque soit leur région géographique, la majorité des espèces de vautours fait face à de nombreuses menaces : 

  • l'empoisonnement : par consommation de cadavres empoisonnés ou en ingérant des plombs de chasse 

  • la chasse

  • les collisions : avec des lignes électriques et des éoliennes

  • le dérangement

  • l’urbanisation

Connotés à la mort, les vautours sont souvent mal vus alors que leur rôle est essentiel aux relations écosystémiques dans la biodiversité. En effet, les vautours permettent d’éviter la propagation de maladies et bactéries causées par la décomposition des cadavres. 

Sauvons cet animal essentiel à la survie de tous

Le condor

Le condor est un grand oiseau de proie appartenant à la famille des Cathartidae, qui inclut également les vautours du Nouveau Monde. Les condors sont des charognards, se nourrissant principalement de carcasses d'animaux morts. Ils peuvent voler à des altitudes extrêmement élevées, grâce à leurs ailes puissantes et leurs capacités de vol plané. Ils ont une espérance de vie assez longue, souvent vivant jusqu'à 50 ans ou plus en captivité. Il existe 2 espèces principales de condors :

  • le condor des Andes
  • le condor de Californie 

Le condor des Andes vit principalement dans la région andine d'Amérique du Sud, de la Colombie au sud du Chili et de l'Argentine. Il est l'un des plus grands oiseaux volants du monde, avec une envergure pouvant atteindre plus de 3m. Il a une tête chauve et un plumage principalement noir avec des plumes blanches autour du cou et des ailes.

Le condor de Californie est historiquement répandu en Amérique du Nord, principalement en Californie, en Arizona et en Utah grâce à des efforts de réintroduction. Il est légèrement plus petit que le condor des Andes, avec une envergure pouvant atteindre environ 3 m. Il a également une tête chauve, souvent rouge ou orange, et un plumage noir.

En raison de leur grande taille et de leur nécessité de vastes territoires de chasse, les condors sont particulièrement vulnérables :

  • à la perte d'habitat
  • aux activités humaines
  • aux empoisonnements 
  • à la chasse illégale

Le condor des Andes est considéré comme quasi menacé. Les estimations de leur population sont plus difficiles à établir en raison de leur vaste aire de répartition à travers les montagnes andines d'Amérique du Sud. Cependant, les chiffres suggèrent qu'il reste entre 6 000 et 10 000 condors des Andes à l'état sauvage.

Le condor de Californie est en danger critique d'extinction : la population avait chuté à 27 individus en 1987, mais grâce à des programmes de reproduction en captivité et de réintroduction, la population a lentement augmenté jusqu’à 334 à l'état sauvage et 200 en captivité.

Les 2 espèces bénéficient de programmes de conservation pour protéger leur habitat, réduire les menaces et augmenter leur nombre par le biais de la reproduction en captivité. Ces efforts ont montré des résultats positifs, notamment pour le condor de Californie, dont la population a connu une résurgence remarquable après avoir été au bord de l'extinction.

Leur rôle écologique est crucial car ils aident à nettoyer l'environnement en éliminant les carcasses, permettant de réduire la propagation de maladies.

Protégeons les nettoyeurs de la planète

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L’aigle

L’aigle appartient à la famille des accipitridés, grands rapaces planeurs diurnes. Le terme désigne 38 espèces d'oiseaux qui constituent 12 genres. Les plus connus sont l’aigle royal ou aigle à tête blanche (ou pyrargue à t^ête blanche). Ils possèdent des pattes puissantes et de grandes serres qui leur permettent de saisir leurs proies. Ils ont grande acuité visuelle leur permettant de repérer celles‑ci à distance. 

Il niche principalement en falaise (milieu rupestre) et se rencontre dans les montagnes à travers le monde.

De nombreuses espèces sont menacées à cause de :

  • La destruction de leur habitat
  • L’ingestion de polluants (pesticides, métaux lourds…) …

L'aigle est le symbole de nombreux organismes et nations. Il est aussi en tête de la chaîne alimentaire ce qui en fait un animal essentiel pour les écosystèmes.

Protégeons les aigles en préservant nos écosystèmes.

Le toucan

Le toucan appartient à la famille des Ramphastidés. Ce sont des oiseaux grimpeurs de taille moyenne, caractérisés par un bec surdimensionné et vivement coloré. « Toucan » signifierait « bec osseux ». Cet appendice leur permet de réguler leur température. Ils sont présents dans la forêt amazonienne à travers l'Amérique tropicale. Le mâle toucan attire les femelles en faisant une parade très bruyante. Cet oiseau vit dans les jungles tropicales d'Amérique du Sud et d'Amérique centrale et est très important pour cet écosystème, car il aide à disperser les graines des fruits et des baies qu'ils mangent.

Les principales menaces sont :

  • la destruction de son habitat due à la déforestation et la réduction des forêts tropicales : l’exploitation agricole, la construction urbaine, l’extraction de matières premières pour le papier... 
  • le braconnage pour la chasse aux trophées et la chasse aveugle : les chasseurs imitent le chant des toucans pour les attirer. De nombreux toucans sont capturés pour le commerce des animaux de compagnie !
  • la pollution de l'environnement : par exemple, le méthylmercure contenu dans les lacs et les rivières avoisinants où ces oiseaux nichent

Malheureusement, le toucan est en voie d'extinction, voire en danger. Les États‑Unis, le Japon, l'Europe ou les pays de l'Est sont les principales destinations de ce type de commerce illégal.

Préservons le toucan et ses forêts

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Brésil

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Le ara

Les ara appartiennent à la famille des perroquets. Il portent un plumage très coloré, qui lui donne son nom : rouge, bleu ou vert. Il a une longue queue et un bec puissant. Les aras vivent en Amérique tropicale (Amazonie) : Guyane, Brésil, Vénézuela, Argentine, Pérou, Colombie, Bolivie, Equateur.

Les aras sont menacés d’extinction à l'état sauvage. L’ ara de Spix (petit ara bleu) a même disparu à l'état sauvage, originaire du Nord‑Est du Brésil dont ne subsistent actuellement que quelques dizaines de spécimens en captivité. D’autres sont entrés sur la liste des animaux en voie d'extinction : l'Ara militaire et du Grand ara vert (Ara de Buffon). Le premier vit essentiellement dans les forêts tropicales du Mexique et d'Amérique du Sud : on en compte 6.000 à 13.000 spécimens, éparpillés dans des habitats fragmentés sur de vastes territoires. Quant au second, on le trouve en Amérique centrale. Il y aurait 1.000 à 3.000 oiseaux de cette espèce en Colombie, au Costa Rica, en Equateur, au Nicaragua et au Panama.

Les principales menaces sont :

  • La disparition de leur habitat : agriculture, urbanisation,…
  • Le braconnage/trafic pour la domestication : recherchés pour leurs couleurs chatoyantes et leur aptitude à «parler»

Des projets de réintroduction de l'espèce naissent, notamment grâce au partenariat entre l'ICMBio et une ONG allemande, l'Association pour la conservation des perroquets menacés (ACTP).

Protégeons les aras du braconnage et de la destruction de leur habitat

Le quetzal

Le quetzal désigne plusieurs espèces d’oiseaux, et signifie «grande plume verte». Il arbore un plumage vert et bleu ciel. Le mâle est pourvu de longues plumes caudales et d'une huppe. À la fin de la nidification, l'oiseau perd ses plumes et repousseront l'année suivante. La femelle n'a ni longue queue, ni poitrine rouge. 

Le quetzal resplendissant vit en forêt tropicale dans la zone néotropicale, en Amérique centrale. Pour les Mayas et les Aztèques, le quetzal était un oiseau sacré, dont les plumes étaient très prisées.

Les principales menaces sont :

  • la destruction de son habitat
  • la chasse
  • le commerce illégal
  • l’élevage : usage important de leurs plumes, à l’époque précolombienne. Les oiseaux étaient transportés sur de longues distances jusqu’aux volières des métropoles

Le Quetzal est en voie de disparition. Le quetzal est classé comme espèce “quasi menacée” sur la liste rouge de l'Union internationale pour la conservation de la nature.

Sauvons le magnifique quetzal 

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Le colibri

Les colibris, qu’on appelle oiseaux‑mouches sont connus pour leur petite taille et leurs battements d'ailes rapides. Leur plumage a beaucoup de couleurs, souvent similaires à celles des fleurs qu’ils visitent, par mimétisme. Ils mesurent de 2 à 22 cm env, et jusqu'à 35 cm chez certaines espèces.

Ils sont particuliers à plusieurs égards, ils peuvent voler vers l'arrière ou sur place et effectuer des voltiges impressionnantes. Ils ont un rapport élevé entre la masse corporelle et la masse du cerveau, une capacité à faire des vocalises complexes. Leurs ailes battent à des cadences vertigineuses, leur rythme cardiaque, mesuré à plus de 1 260 battements par minute. Cependant, ils sont capables de ralentir leur métabolisme jusqu'à la léthargie (nuit, froid). La langue des colibris est remarquable, scindée en deux branches, l'enroulement des bords en deux gouttières longitudinales et la présence de fines excroissances favorisent la rétention du suc des fleurs. Territoriaux et solitaires, les oiseaux‑mouches vivent dans des milieux très diversifiés, exclusivement sur le contiennent américain. 

Les principales menaces sont : 

  • la dégradation et la fragmentation de l’habitat : la pollution (déchets, pesticides), l’expansion de l’agriculture, l’urbanisation
  • les accidents : contre les vitres par ex.
  • le dérèglement climatique : qui agit sur la flore, donc les colibris
  • les espèces envahissantes

Les colibris ne sont majoritairement considérés comme menacés par l’UICN sauf quelques espèces en voie de disparition, d’autres en danger critique voire éteintes.

Seuls oiseaux sur le continent américain à se nourrir essentiellement de nectar, les colibris jouent un rôle certain dans la pollinisation. Ils sont essentiels pour la diversité de la flore car ils pollinisent des centaines d’espèces de fleurs ou fruits (ananas), endémiques notamment. Pour certaines espèces, ils sont les seuls à pouvoir le faire et sont donc vitaux pour la survie de ces plantes. Ils sont donc interconnectés.

Protéger les colibris, c’est préserver la diversité des fleurs endémiques

Le calao

Les calaos sont des oiseaux de taille petite à très grande (30 à 120 cm), avec une caractéristique : son long bec courbe surmonté d'un casque creux. Appelés « fermiers de la forêt », ces oiseaux y dispersent les graines. Ils nichent d’ailleurs au creux des arbres. Pendant la saison de reproduction, la femelle scelle l’ouverture avec ses excréments et de la boue, pour protéger les œufs des prédateurs. Il revient alors au mâle de nourrir les jeunes et la mère.

Ces oiseaux vivent en Afrique subsaharienne et rien Asie du Sud‑Est, dans les forêts mais aussi d'autres zones arborées et la savane.

Certaines de ses espèces sont menacées comme le calao à casque rond, à la tête rouge vif ou le calao rhinocéros. La majorité des espèces menacées vivent d’ailleurs en Asie du Sud‑Est. Les principales causes :

  • le trafic vers la Chine
  • la déforestation qui dévore son habitat
  • le braconnage tribal (coiffe)

Pour sauvegarder les Calaos, des associations ont mis en place des nids artificiels das le but d’améliorer le taux de reproduction.

Protégeons ces beaux oiseaux 

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Le marabout

Les marabouts sont de très grands échassiers des latitudes tropicales ; il en existe 3 espèces. 2 d'entre elles nichent dans le Sud de l'Asie et la troisième en Afrique subsaharienne. Entre vautour et cigogne, Il est de très grande taille (100 à 150 cm) avec une envergure de 210 à 250 cm. La tête et le cou sont déplumés comme ceux des vautours. Le bec est très long et massif.

Ce sont des animaux grégaires, nichant en colonies dans des régions humides et construisant de grands nids de brindilles dans les arbres. Ils se nourrissent de petits animaux (amphibiens, insectes, rongeurs) mais surtout de charognes et carcasses (gnous, buffles, zèbres, antilopes) et la nudité de leur tête et de leur cou se trouve être un atout comme elle l'est pour les vautours : une tête nue reste propre.

On le rencontre dans le sud de l’Asie et au sud du Sahara, en Afrique. II s’aventure souvent près des villes et des villages. Les populations sont stables;  mais ce n’est pas le cas du marabout argala d’Asie (en Inde, Pakistan, Bangladesh et Népal), en danger d’extinction, dont le marabout argala, classé sur la liste rouge de l’UICN. Les menaces sont :

  • le ramassage des œufs
  • la pollution : l’utilisation intensive de pesticide
  • l'agriculture
  • l'urbanisation
  • la chasse (médecine traditionnelle)

L’espèce est reconnue pour son utilité écologique au sein de son écosystème en tant que charognard. En effet, son comportement évite que des maladies (virus, bactéries, microbes) ne se propagent et ne se répandent sur l’ensemble du territoire.

Protégeons les marabouts, nettoyeurs naturels 

Le macareux

Le Macareux est un oiseau marin : le macareux rhinocéros, cornu, huppé et moine (le plus connu). Il vit en haute mer sauf quand il se reproduit. De taille moyenne, Le macareux moine est facile à identifier : un œil cerclé de rouge, souligné par un fin sourcil noir, et un bec grossièrement triangulaire, volumineux et légèrement crochu. Il se nourrit de poissons fourrages. C’est un oiseau grégaire et peu farouche. Il vole très mal, mais est excellent nageur, capable de longues apnées. Bien protégé du froid par une bonne couche de graisse, il est particulièrement adapté à la pêche sous‑marine, qu'il pratique habilement souvent à plus de 15 m sous la surface. Cette espèce ne vit qu'en Atlantique nord.

Les macareux moines sont classés vulnérables. Voici les principales menaces :

  • La pollution lumineuse
  • Le réchauffement climatique
  • La chasse / braconnage (dans les années 1900 en France surtout!). En Islande et îles Féroé, la viande est toujours consommée.
  • Les espèces invasives : les rats qui pillent les nids

Sauvons les macareux comme un symbole de ces territoires sauvages

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Le tetras‑lyre

Le tétras lyre est aussi appelé « coq des bouleaux » ou « petit coq de bruyère ». Le mâle est noir avec des reflets bleus, ses ailes sont brun‑noir avec une petite barre blanche. La queue se termine en forme de lyre, d'où son nom. Au‑dessus de l'œil, une caroncule rouge très développée au printemps, surmonte un bec court. Il mesure environ 60 cm avec une envergure jusqu’à 80 cm. Il est majoritairement végétarien et plutôt sédentaire. Les mâles sont connus pour leurs parades nuptiales spectaculaires, qui se déroulent généralement au printemps (de mars à juin). Pendant ces parades, ils déploient leur queue et émettent des sons caractéristiques pour attirer les femelles. Au centre de cet emplacement se trouve l’arène où les coqs paradent, chantent, se mesurent; les gestes et les allures ont tous une signification bien précise : provocation, domination… Les femelles pondent à même le sol, dans un amas de brindilles, souvent cachées dans un fourré où elles peuvent être alors très vulnérables.

Symbole des Alpes européennes, il vit principalement dans les régions montagneuses d'Europe et d'Asie. Il peuple les clairières et les lisières des forêts de conifères mêlées de bouleaux, les landes humides parsemées d'arbres, jusqu'à 2 300 m d'altitude. Dans les Alpes, le tétras‑lyre a besoin d'un domaine vital d'au moins 3 000 ha comprenant des forêts de conifères avec clairières.

Le tétras‑lyre est menacé par :

  • la perte de son habitat due à l'expansion humaine, le déboisement, le pâturage intensif
  • la dégradation et le morcellement de son habitat
  • les perturbations humaines (dérangement par les skieurs, randonneurs, cueilleurs, chasseurs et les chiens en liberté)
  • la chasse : en France, classé « gibier de montagne » et donc soumis à un « plan de chasse » qui fixe chaque année un nombre d'oiseaux pouvant être tués.
  • les changements climatiques

Les envols intempestifs, surtout s'ils sont répétés compromettent gravement l'équilibre énergétique du tétras‑lyre en interrompant ses phases de repos, en lui faisant perdre ses réserves de graisse, en créant du stress et en obligeant à la dispersion des groupes.

Le nombre exact de tétras‑lyres dans la nature peut varier considérablement en fonction de la région et des conditions locales. Elle est estimée à plusieurs centaines de milliers d'individus. En Europe : Le tétras lyre est considéré comme vulnérable. Cependant, certaines populations locales se portent mieux dans les zones protégées et les réserves naturelles. Donc certaines populations sont stables ou en légère augmentation grâce aux efforts de conservation quand d'autres sont en déclin. L’UICN classe le tétras lyre comme préoccupation mineure avec un estimation entre 325 000 et 740 000 couples; mais en Belgique, l'espèce est jugée en danger critique. Pendant longtemps l'exploitation traditionnelle des alpages par l'homme a favorisé des conditions de vie idéales au tétras‑lyre. Dans certaines régions des Alpes des mesures ont commencé à être prises pour la sauvegarde du tétras‑lyre, telles :

  • préservation de zones vierges de toutes activités humaines ;
  • interdiction des zones d'hivernage aux skieurs hors‑piste ;
  • dans certaines zones, limitation du passage des randonneurs aux sentiers balisés et interdiction des chiens en liberté ;
  • dans certaines zones, retardement de la montée des troupeaux en alpage ;
  • installation sur les câbles de spirales ou de bouchons, bien visibles par les oiseaux, afin de limiter les collisions.

Le tétras lyre est un oiseau emblématique et joue un rôle important dans la biodiversité de son habitat.

Préservons cette espèce emblématique en protégeant nos montagnes.

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