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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Découvrez l’univers marin

Quand partir ?

Le dauphin et le globicéphale

Le dauphin est l’un des animaux les plus anciens de notre planète. Sociable et joueur, ce mammifère est un excellent pêcheur. Il peut rester 8 minute sous l’eau sans respirer. Il est capable de connaître la taille, la forme et la distance d’un objet immergé grâce aux ultrasons qu’il émet. Ses interactions avec l’humain sont nombreuses, mais aussi « forcées » en captivité.

Le globicéphale appartient à la famille des delphinidés, et est appelé aussi « dauphin-pilote, ou baleine-pilote». Dauphin au melon frontal fortement développé, il se déplace le plus souvent en bandes, d'une dizaine à plusieurs centaines d'individus

Le dauphin joue un rôle précieux pour l’équilibre écologique de la vie marine. On dénombre 36 espèces, dont 10 pourraient avoir totalement disparu d’ici 10 ans.
Les causes :

  • les filets de pêche (intensive et accessoire) : lorsqu’il est pris dans un filet, le dauphin dispose donc de 8 min pour s’en dégager avant de se noyer
  • la pollution, dont sonore
  • le changement climatique
  • le trafic maritime : collisions, dérangement 
  • la captivité pour les delphinariums

Choisissons des partenaires labellisés, participons au développement d’aires marines protégées et à la lutte face aux problématiques liées à la pollution et la pêche.

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La baleine (ou rorqual)

De la famille des cétacés, la baleine est un des plus gros mammifères marins. Dotée d’une intelligence et d’un système de communication incroyables, les cétacés ont des comportements complexes.
Les baleines sont le symbole de la vie marine sauvage. Elles ont de nombreux avantages comme la captation du carbone qui constituent un puissant argument pour leur protection.
Malgré tout, certaines espèces sont menacées : les baleines bleues sont passées de 250000 à 5 000.

Les causes :

  • la pollution : algues toxiques, nuisances sonores, 
  • le réchauffement climatique : acidification des océans
  • la chasse
  • le trafic maritime: collisions, dérangement 
  • Le raréfaction des proies, ressources

Observez les dans les meilleures conditions possibles sans les déranger et participez à leur préservation.

Le requin baleine

Il fait partie des requins mais nous souhaitions le distinguer car il se distingue des autres espèces de requins par bien des manières. Il est le plus grand poisson au monde et peut-être, un des plus vieux habitants de nos océans. Ce géant marin est inoffensif et peu farouche avec les humains. il  mesure environ 10 m et peut peser 30 tonnes.

Aujourd’hui, l’espèce est "en danger” à cause de :

  • la réduction de son habitat
  • la pollution
  • les collisions
  • le commerce alimentaire dont l’huile issue de son foie
  • le tourisme non responsable : dérangement

Mais des programmes de conservation se mettent en place notamment grâce à l’écotourisme. 

Contribuons à les protéger en collaborant avec des partenaires éthiques, locaux et protégeons leur environnement.

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Le requin

Avec sa mâchoire puissante, le requin fait peur et fascine à la fois. Il n’est pas omnivore mais a déjà attaqué l’homme involontairement et cela s’intensifie à cause de la suractivité humaine.

Les principales menaces qui pèsent sur les espérés de requins sont :

  • sa mauvaise réputation, la méconnaissance et la proximité des deux plus gros prédateurs du monde vivant s’intensifie et génère plus de conflits : représailles, peurs infondées… qui « justifient » des massacres par les hommes
  • la pêche industrielle (surpêche) et le braconnage alimentent le trafic illégal d’ailerons notamment : les chinois raffolent des ailerons de requins. Des dents de requins ou autres « produits pharmaceutiques » à base de requins envahissent également les pharmacies
  • la pêche accessoire
  • la pollution de l’habitat

La disparition de prédateurs en haut de la chaîne alimentaire aurait de lourdes conséquences pour les écosystèmes marins. 

Agissons pour sa préservation et Communiquons sur l’importance de sa survie.

La tortue marine

Depuis plus de 150 millions d’années, les tortues marines ont occupé nos océans et ont surmonté toutes les crises climatologiques. Les tortues marines sont des reptiles qui respirent l'air et qui ont donc des poumons. Elles doivent donc régulièrement faire surface pour respirer. Elles passent la majorité de leur temps sous l'eau et doivent donc pouvoir retenir leur souffle longtemps. La durée de la plongée dépend en grande partie de l'activité et de leur espèce (de 5 à 40 minutes sous l'eau), et une tortue de mer endormie dépense moins d'oxygène et peut rester sous l'eau pendant 4 à 7 h. 

Les tortues de mer se nourrissent d’algues, de végétaux marins, de crabes, de coquillages, de méduses, de moules et de petits poissons. Présentes dans tous les océans du monde à l'exception de l'océan arctique, certaines parcourent des distances phénoménales, effectuant de véritables migrations, entre leur source de nourriture et leur lieu de ponte. On raille souvent la lenteur des tortues, pourtant, parmi les différentes espèces marines, certaines sont capables d’atteindre une vitesse pouvant s’élever à 35 km/h. Grâce à leurs pattes antérieures semblables à des nageoires, elles se déplacent rapidement dans l’eau.

Aujourd’hui, 6 sur 7 espèces sont menacées à cause de :

  • le braconnage (commerce, mets local) : surtout les œufs
  • les accidents
  • le plastique
  • la pollution

Découvrez de fabuleux espaces marins et participez aux programmes de protection en les observant avec respect.

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La raie

Majestueuse et ondulante, la raie est gracieuse et semble presque humaine. Célèbre, la raie manta est le Poisson au plus gros cerveau. + 600 espèces sont connues à ce jour.

Un tiers de ces espèces sont menacées d'extinction, principalement en raison de :

  • la surpêche
  • la pollution marine.
  • les raies ont une reproduction lente et sont sensibles à la pression humaine

Continuons à protéger leurs espaces naturels pour contempler la raie pendant encore de nombreuses années.

Le cachalot

Le grand cachalot (ou cachalotet ou cachalot macrocéphale) est cétacé à dents. Le mâle peut atteindre plus de 20 m de long, ce qui fait de l'espèce le plus grand carnassier au monde (calmars, poissons..). La tête représente le tiers de la longueur de l'animal. Il est connu pour ses records de plongée en apnée (900 m de prof.), avec la baleine de Cuvier. Ses vocalisations en cliquetis sont les sons les plus forts produits par un animal, elles sont utilisées dans le but de communiquer, de s'identifier et de se localiser entre eux. Les cachalots se rassemblent en groupes nommés « pods ». Les femelles vivent avec leurs jeunes, séparément des mâles, et s'entraident pour protéger et allaiter les juvéniles. Elles mettent bas tous les 3 à 6 ans et s'occupent de leur progéniture durant plus d'une dizaine d'années. Il fréquente tous les océans et une grande majorité des mers du monde. Cependant, seuls les mâles se risquent aux océans polaires.

La population mondiale de cachalots comptait plus d’ 1 000 000 individus et désormais estimés autour de 350 000 soit environ 65% de diminution ! Le statut IUCN est classé vulnérable. Les menaces sur les cachalots sont :

  • la chasse intensive : jusqu’au XX ème s. surtout, qui a inspiré le roman Moby-Dick (Spermaceti, huile de cachalot, ambre gris, ivoire)
  • la chasse traditionnelle : la viande et les rites. Au Japon, sa viande est encore beaucoup consommée !
  • la pêche : les pêcheurs ne ciblent pas les espèces que le cachalot mange ; Mais l'enchevêtrement dans les filets de pêche, l’ingestion des débris marins et les collisions avec les navires sont un fléau

  • la pollution chimique

  • la pollution sonore (pêche & tourisme) : très sensibles aux bruits causés par les activités humaines.

  • Mais l'impact de l'industrie touristique basée sur l'observation des cachalots en mer, a été étudié à Kaikoura en NZ. Celle-ci ne modifierait pas le comportement des animaux, ou dans des proportions trop faibles. Il faut cependant adopter des observations ecoresponsables.

Pour réduire ces pressions causés par l’homme, un sanctuaire pour les mammifères marins a été créé en 2012 dans les Antilles françaises. Quant à la chasse commerciale, la commission baleinière internationale proclame la pleine protection de l'espèce jusqu’en 1988. Cependant, certains pays comme le Japon a prélevé 10 grands cachalots par an dans le Pacifique, et encore plus en Indonésie.

Au sommet de la pyramide alimentaire marine, le grand cachalot est un superprédateur qui joue un rôle majeur dans le milieu marin, en régulant notamment les populations de pieuvres et de grands calmars. Sa chasse déséquilibré des écosystèmes et semble participer au dérèglement climatique, affectant à leur tour les populations de cétacés. Les cachalots remontent des profondeurs, via leurs excréments, de la matière organique et des oligo-éléments dont 400 000 tonnes de carbone. Un véritable puits de carbone, 2 fois plus important que l'émission de CO2 de ces animaux par respiration. Ce phénomène aurait pu être 10 fois plus important si l'espèce n'avait pas été pourchassée durant 2 siècles. En outre, en renforçant ainsi le « recyclage du fer », les cachalots de la zone australe contribuent aussi à permettre et entretenir une importante chaîne alimentaire. Comme sa densité est plus faible que celle de l'eau, le cachalot mort flotte à la surface. Ainsi, il ne participe pas ou peu à la création d'écosystèmes éphémères créés par les carcasses de baleines qui tombent sur la plaine abyssale.

Protégeons les cachalots pour un réel impact systémique positif 

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Le beluga et le narval

Le béluga (appelé aussi baleine blanche, dauphin blanc et marsouin blanc) et le narval sont des cétacés. Tout comme les autres baleines arctiques, ils n'ont pas de nageoires dorsales mais une couche graisseuse qui les isole du froid. Le beluga est entièrement blanc adulte, alors que le narval devient noir. Le beluga dispose d'un des sonars les plus sophistiqués de tous les cétacés. Ce sonar lui est indispensable pour s'orienter et se repérer dans les canaux de glace immergés, qui forment un véritable labyrinthe. Le narval ou « licorne des mers » a une particularité qui lui a valu ce surnom : la canine gauche du mâle s'allonge pour donner la «corne». Chez la femelle, les 2 dents restent à l'intérieur de la boîte crânienne. Cette dent est un organe de détection sensorielle extrêmement sensible qui permet à l'animal de percevoir les différences de pression, de salinité, ou de température. D’apparence rigide, elle est en fait flexible et peut se réparer ! Les naissances du beluga ont lieu au printemps (un seul petit) et le narval en juillet. Le narval vit jusqu’à 50 ans alors que le béluga vit en moyenne 70 ans !

Surnommés tous 2 « canari des mers », ils sont capables d'émettre un large éventail de sons et certains seraient en mesure d’émettre des sons dont la ressemblance avec la voix humaine est frappante. Ce sont des animaux très sociables qui se déplacent en groupes, jusqu’à plusieurs milliers d'individus chez les belugas. Ils vivent dans l’Océan Arctique (Mer de Beaufort, baie d’Hudson, mer de Behring,…) et dans l’estuaire du Saint-Laurent. Les narvals ne vivent que dans les régions arctiques, en constante migration; et exceptionnellement, dans certaines embouchures. 

Le beluga et le narval peuvent s'hybrider en « narluga », résultat du réchauffement climatique et pourrait conduire à leur perte. Les menaces pesant sur les bélugas et les narvals varient selon leur habitat :

- Sur le fleuve sur le Saint-laurent et dans la baie d’Hudson (rivière Churchill) :

  • la pollution chimique causant des maladies incurables
  • la pollution sonore et les collisions : augmentation du trafic maritime et surtourisme avec des bateaux toujours plus gros et nombreux
  • la pêche : au flétan, qui crée un manque de ressources alimentaires  

- sur des zones plus isolées :

  • l'utilisation de brise-glaces
  • le réchauffement climatique qui, paradoxalement, engendre une augmentation de la glaciation de surface des eaux (baie de Baffin), emprisonnant certains narvals 
  • la chasse (en diminution) : pour la viande et l’ivoire, non réglementée chez les populations autochtones du Grand Nord.

La faible sensibilisation visant à enseigner aux Inuits une gestion sensée des populations de narvals a été mise en place.

La population des bélugas s'est stabilisée autour de 100 000 individus alors qu’on estime à la moitié chez les narvals, et en diminution constante

Adoptons un tourisme responsable avec des bateaux de petite taille !

L’orque

L’orque est le plus grand des delphinidés et vit dans les régions glaciaires jusqu’aux mers tropicales. Son régime alimentaire : poissons ou grands mammifères marins (lions de mer, phoques, morses, baleineaux). Les orques ont des comportements sociaux forts et complexes  qui en font des animaux très intelligents et de super prédateurs grâce à des techniques de chasse sophistiquées. D’où leur surnom : « baleine tueuse ». Dernier maillon de la chaîne alimentaire dans les océans, les orques font partie des mammifères les plus répandus dans le monde.

Certaines populations locales sont menacées ou en voie d’extinction à cause de :

  • la disparition de leur habitat
  • la pollution : c'est l'espèce marine qui présente la plus forte concentration de PCB dans le sang, malgré leur interdiction, mais aussi nuisances sonores, micro plastiques…
  • la captivité en delphinarium 
  • la compétition alimentaire avec l’industrie de la pêche

La moitié des épaulards a diminué rapidement.

En liberté, les orques sauvages ne sont pas une menace pour l'Homme, certaines s'approchent même d'établir un contact. Mais, en captivité, on déplore de nombreux accidents dont mortels (volontaires envers leurs dresseurs). Le documentaire Blackfish dénonce les conditions dont elles souffrent et ces conséquences déplorables.

Protégeons les, l’avenir des océans en dépend !

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Afrique du Sud

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Namibie

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Équateur/Galápagos

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Le phoque et l’otarie

Ils se ressemblent mais ont quelques différences physiques (oreilles, nageoires). Ils sont très joueurs et aiment l’interaction avec l’homme. 

Phoques moines (le plus menacés), phoques gris, phoque à fourrure, … et l’éléphant de mer appartient à la famille des phoques et le plus imposant de toutes les sous espèces de phoques. 

Mais ils sont menacés par :

  • les effets du changement climatique
  • la pollution
  • la pêche industrielle et accessoires (« accidentelles »)
  • le braconnage : chasse (fourrure)
  • les conflits en ressources et la proximité avec les hommes : les phoques sont aussi mis en danger par les fermes à saumons, ressources de nourriture qui attirent les phoques mais les animaux sont ensuite massacrés par les producteurs. Un vrai conflit humain animal est à l’origine de nombreux massacres, rien qu’en Ecosse. 

Maintenant protégée, l'espèce n'est plus directement ciblée mais la diminution de la population continue pourtant de progresser.

Heureusement, des initiatives locales tentent de les protéger (tanières artificielles). La limitation du réchauffement climatique sera déterminante dans la survie de ces espèces. 

Protégeons notre environnement pour protéger le sien. Engageons-nous pour relever le défi de la transition énergétique.

L’éléphant de mer et le morse

Les éléphants de mer et les morses sont des mammifères marins dont ils en sont les plus imposants. L’éléphant de mer est un phoque qui a développé un nez en forme de courte trompe qui leur a valu son nom. Le morse n’appartient pas à la famille des phoques et est parfaitement reconnaissable à ses défenses. Leur allure massive avec un poids jusqu'à 2 t. et une longueur de 6 m. (un peu moins pour les morses) est spécifique aux mâles. Pour les 2 espèces, le dimorphisme est très marqué avec les femelles (entre 2 et 3 fois moins). Les éléphants de mer plongent profondément (+ de 2000 m.), alors que le morse est dépendant des eaux peu profondes mais peut supporter des températures allant de −35 °C à 15 °C, il vit sur les blocs de glace ou icebergs dérivants.

ll y a 2 espèces d'éléphants de mer : celui des mers du sud et du nord. 2 espèces de morses : celui de l’Atlantique et du Pacifique. Les espèces vivant dans le Pacifique étant plus grandes. Les éléphants de mer fréquentent les mers australes (Patagonie, Îles Malouines, îles Kerguelen, Crozet, Heard) et la côte pacifique nord-américaine (Alaska, Californie, Basse Californie). Le morse vit dans l’océan arctique, le Nord Atlantique et la mer de Béring (Nord Pacifique).

Les principes menaces sur ces espèces sont :

  • la chasse commerciale/ illégale (pour sa graisse et l'ivoire de ses défenses) et illégale, pour le morse 
  • la surpêche
  • le réchauffement climatique : la surface et l'épaisseur de la banquise a atteint des niveaux exceptionnellement bas. Or, le morse a besoin de cette glace, notamment pour la mise-bas et lors des regroupements en colonies pour la période de reproduction. Les morts par écrasement, victimes d'une foule qui doit s'entasser de plus en plus le long des rivages de la mer des Tchouktches, entre l'Est de la Russie et l'Ouest de l'Alaska
  • les catastrophes environnementales
  • la pollution marine telles que les marées noires 
  • la pollution sonore casant le dérangement des colonies
  • la viande de brousse et traditions (des populations isolées continuent de tuer de petits nombres de morses vers la fin de l’été) dont tout le corps est utilisé.

Selon les estimations de l’UICN, on dénombrerait environ 110 000 éléphants de mer à l’état sauvage. Il n’est pas menacé. La population mondiale d’éléphants de mer du Nord est même en hausse. Le morse est classé par l'UICN vulnérable à cause de sa population d'Atlantique et dans la mer de Laptev inférieure à 30 000 individus (contre 200 000 en Pacifique).

La légalisation « réglementée » de la chasse au morse et l’abattage de plusieurs centaines de morses chaque année (Groenland et l'Est du Canada) n’aident pas des populations atlantiques fragiles numériquement. Seuls aux USA, le morse est protégé par le MMPA.

Protégeons le morse est une espèce clé des écosystèmes marins de l'Arctique

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Nouvelle Calédonie

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Le dugong et le lamantin

Le lamantin et le dugong sont proches de l’éléphant. Surnommés vaches de mer, ces siréniens sont exclusivement herbivores. Le meilleur moyen pour les reconnaître facilement : la queue de l’animal. Chez le lamantin, la queue est plate, de forme arrondie et plutôt large (ex : castor). La queue du dugong ressemble à celle des cétacés comme le dauphin. Contrairement au dugong, le lamantin doit boire quotidiennement de l’eau douce. On le retrouve donc plutôt dans l’embouchure de fleuves. 

Parfois joueurs, parfois craintifs, ces siréniens sont considérés comme l’une des espèces les plus menacées au monde.

  • la proximité, surtout pour le lamantin qui le rend vulnérable face aux pressions humaines (interactions proches, collisions…)
  • la chasse et le braconnage
  • la pêche dont accidentelle
  • la dégradation des milieux, notamment des herbiers marins

Mais des plans d’action ont récemment permis un retour de l’espèce.


Continuons à préserver leur habitat en contribuons au développement d’aires protégées et mouillages écologiques.

Le manchot et le pingouin

On confond souvent ces drôles d’ « OISEAUX » marins : Le pingouin vit dans l’hémisphère nord et le manchot au sud.
Plusieurs espèces de manchots, dont l’emblématique manchot empereur, sont en voie d’extinction, à cause de  :

  • des changements climatiques qui modifient leur environnement
  • la pollution (mazout, plastique...)
  • le stress lié à la suractivité humaine

Les manchots du Cap sont les derniers du continent africain. Ils font l'objet de nombreux programmes de conservation. En 2 siècles, leur population a chuté de 95%. 

Préservons leur habitat et faisons de l’environnement un enjeu prioritaire pour les sauver.

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Le marsouin

Le marsouin était autrefois appelé « cochon de mer » mais aussi « dieu des mers ». Les marsouins sont de petits cétacés à dents, plutôt noirs sur la face dorsale supérieure, et blancs sur la face ventrale inférieure. Mesurant de 1,5 à 2,5 mètres de long selon les sous-espèces (6), ils sont moins facilement observés que les dauphins, car ne sautant pas (ou rarement) hors de l'eau. Ils s'approchent toutefois volontiers des navires et des côtes, peuplant la plupart des côtes tempérées et froides du globe. Les femelles sont souvent plus grandes et plus lourdes que les mâles (environ 15 %). Leur poids étant relativement faible, de 40 à 170 kg selon les espèces et leur taille, leur corps perd plus rapidement sa chaleur dans l'eau que celui les autres cétacés, ce qui les oblige à manger souvent et à compter sur leur réserve de graisse. Ils se déplacent seuls ou en petits groupes, sauf aux périodes de reproduction et pour chercher de la nourriture (100 individus). Ils peuvent plonger environ 6 minutes et à une vitesse de 7 km/h juste sous la surface de l'eau. Le chant joue un rôle primordial dans le comportement des marsouins, qui disposent d'un spectre sonore très étendu. On estime à 25 ans leur espérance de vie. 

S'ils sont encore, et de loin, les cétacés les plus répandus, leurs effectifs tendent à régresser. Ce qui pose davantage problème est la survie de certaines populations régionales. Les raisons de ce déclin tiennent à :

  • la pollution marine
  • la (sur)pêche accessoire des pêcheurs et baleiniers, parce que trop petits pour être d'intérêt, ils sont fréquemment accidentellement capturés dans les filets où ils se noient ou se blessent
  • la chasse aux cétacés par les baleiniers 
  • la captivité en delphinarium 

La population mondiale compte encore plusieurs centaines de milliers d'individus globalement. Seules quelques espèces ou sous-espèces, dont l'effectif est minime, sont en danger d'extinction : par exemple, en mer Baltique, on estime l'effectif dans la partie ouest de 800 à 2 000 individus, et pour la partie est entre 100 et 600 individus. L’UICN considère cette population comme vulnérable.

Le marsouin est protégé par les lois de protection de la Nature et figure à l'annexe II de la Convention de Washington. La ré-introduction, le transport et la mise en captivité sont interdits au titre de la législation de l’Union Européenne. L'espèce est aussi protégée par la convention de Berne et par la directive européenne Habitats. Les commissions Ospar et Helcom engagent leurs états signataires à limiter la pollution des océans qui empoissonne et déséquilibre le sommet de la pyramide alimentaire.

Protégeons mieux les milieux marins

Le corail

Le corail est bien un ensemble d’animaux, fixés et caractérisés par un exosquelette calcaire (dur) ou protéinique (mou). Il en existe 2 types : anthozaires «ou « coraux noirs » et hydrozoaires ou « coraux de feu ». Les coraux sont généralement des colonies de polypes qui se regroupent pour former des superorganismes. Chaque polype sécrète son propre exosquelette et forme ainsi un « squelette colonial » plus important et durable. Les coraux stricto sensu ou « vrais coraux », sont les coraux bâtisseurs de récifs. On en estime le nombre d'espèces à environ 800. Ils ont formé par accumulation de ces squelettes durs des récifs coralliens dont certains sont devenus les plus grandes structures complexes connues créées par des organismes vivants : les grandes barrières de corail (uniquement dans les zones au dessus de 20°C et peu profondes).

Les 4 plus grands récifs coralliens du monde sont situés en Australie, en Nouvelle Calédonie, au Bélize et en Floride (Dry Tortugas). Le plus ancien est Papouasie Nouvelle Guinée (baie de Kimbe) et concentre 60 % de la biodiversité corallienne. Des pays comme l'Indonésie, les Philippines, les Maldives possèdent également des parts importantes des coraux mondiaux. La France, par ses régions d'outre-mer, concentre 10 % des coraux mondiaux, ce qui en fait le 4e pays corallien au monde (et le seul présent dans tous les océans). Cependant, certaines mers froides (Scandinavie, GB, Nouvelle-Écosse, péninsule ibérique) hébergent aussi des récifs coralliens, qui sont des récifs dits « d'eau froide », très profonds, à corail non photosynthétique et à développement extrêmement lent. Ces récifs sont très poissonneux. 

La Grande Barrière de Corail a perdu plus de la moitié de ses coraux. Idem pour les récifs coralliens du monde, et 60 % des survivants sont en danger à cause de l'homme (surtout en Asie du Sud). Les populations de corail se dégradent en raison de plusieurs facteurs :

  • le changement climatique : hausse des températures, acidification, érosion, …
  • la pollution (crème solaire, plastiques, …)
  • les lésions anthropiques (coups accidentels)
  • la surpêche et la pêche à l’explosif
  • le développement des zones portuaires, canaux…
  • le trafic illégal pour la fabrication d’objets : d’art, bijoux … (corail rouge)

Les colonies de coraux sont des espèces fondatrices de premier plan et jouent un rôle ecosystémique majeur : ils constituent un habitat incroyable pour de très nombreuses autres espèces. De nombreux coraux vivent en symbiose avec des végétaux (zooxanthelles, phytoplanctons). Une hypothèse a été mise en avant : une relation dynamique plus forte qu'on ne le pensait entre les coraux et leurs communautés microbiennes symbiotiques ; en modifiant sa composition, le corail et toute sa communauté symbiotique pourrait s'adapter à des conditions environnementales changeantes ou à des attaques microbiennes bien plus rapidement. Certaines espèces de coraux s’adaptent donc mieux à l’augmentation des températures, développent un meilleur système immunitaire : une « tolérance médiée par l'expérience ».

Protégeons le corail, animaux emblématiques de la vie marine, sans qui rien n’est possible sous l’eau.

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