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Voyage sauvage by Terres 2 Découvertes
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Découvrez l’univers marin

Le dauphin

Le dauphin est l’un des animaux les plus anciens de notre planète. Il appartient à la famille des cétacés à dents (odontocètes). Sociable et joueur, ce mammifère est un excellent pêcheur. Il peut rester 8 minutes sous l’eau sans respirer. Il est capable de connaître la taille, la forme et la distance d’un objet immergé grâce aux ultrasons qu’il émet.

On en dénombre 36 espèces, dont 10 pourraient avoir totalement disparu d’ici 10 ans. Les menaces qui pèsent sur l’espèce sont :

  • les filets de pêche (pêche intensive et accessoire) : lorsqu’il est pris dans un filet, le dauphin dispose donc de 8 min pour s’en dégager avant de se noyer
  • la pollution, dont sonore
  • le changement climatique
  • le trafic maritime : collisions, dérangement 
  • la captivité pour les delphinariums : ses interactions avec l’humain sont nombreuses, mais aussi « forcées ».

Le dauphin compte parmi les plus anciens animaux de notre planète. Il trône au sommet de la chaîne alimentaire aquatique et joue un rôle précieux pour l'équilibre écologique de la vie marine.

Choisissons des partenaires labellisés et participons au développement d’aires marines protégées.

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Le globicéphale

Le globicéphale appartient à la famille des delphinidés, et est appelé aussi « dauphin‑pilote, ou baleine‑pilote». Dauphin au melon frontal fortement développé, il se déplace le plus souvent en bandes, d'une dizaine à plusieurs centaines d'individus

Il en existe deux espèces : le globicéphale tropical dans les régions tropicales et tempérées chaudes, et le globicéphale noir, dans l'hémisphère Sud, dans les régions circumpolaires.
Les menaces :

  • la pollution, dont sonore
  • la chasse, pratiquée en Atlantique Nord (dont îles Féroé)
  • la pêche, l’utilisation de filets dérivants dans lesquels plusieurs animaux ont été retrouvés noyés.

Participons au développement d’aires marines protégées et luttons contre le massacre des globicéphales

La baleine

De la famille des cétacés, la baleine est un des plus gros mammifères marins. Les baleines à fanons sont les plus grands grands cétacés au monde. Elles ont 2 orifices (évents) pour expulser la vapeur d’eau de leurs poumons. Les dents sont remplacées par des lamelles de nature cornée appelées fanons qui filtrent les micros organismes (krill) ou les petits poissons. Dotées d’une intelligence et d’un système de communication incroyables, les cétacés ont des comportements complexes.

Les familles de baleines sont : les rorquals (baleine bleue, rorqual de Sei, rorqual commun, petit Roqual, rorqual boréal et baleine à bosse), la baleine grise, pygmée, et les baleines franches. Certaines espèces sont menacées : les baleines bleues (les plus grosses) sont passées de 250000 à 5 000.

Les causes :

  • la pollution : algues toxiques, nuisances sonores…
  • le réchauffement climatique : acidification des océans
  • la chasse. Le Japon, l’Islande et la Norvège chassent toujours la baleine !
  • le trafic maritime: collisions, dérangement 
  • Le raréfaction des proies, ressources

Les baleines sont le symbole de la vie marine sauvage. Elles ont de nombreux avantages comme la captation du carbone qui constituent un puissant argument pour leur protection. Riches en fer et en azote, leurs excréments flottent à la surface, servant de nourriture au phytoplancton. Et cet organisme végétal est essentiel car il produit au moins 50% de l'oxygène de la planète, mais il absorbe surtout presque la moitié du CO2 produit. Les baleines séquestrent aussi le carbone absorbé après leur mort en piégeant le CO2 dans les sédiments des fonds marins. 

Observez les dans les meilleures conditions et protégez les pour la préservation de notre planète

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Le cachalot

Le cachalot est un cétacé à dents. Le mâle peut atteindre plus de 20 m de long, ce qui en fait le plus grand carnassier (calmars, poissons..). La tête représente le tiers de la longueur de l'animal. Il est connu pour ses records de plongée en apnée (900 m de prof.), tout comme la baleine à bec de Cuvier. Ses vocalisations en cliquetis sont des sons très forts pour communiquer, s'identifier, chasser et se localiser. Les femelles vivent avec leurs jeunes (+10 ans) et s'entraident pour protéger, allaiter les juvéniles. Ils fréquentent tous les océans et la majorité des mers du monde. Cependant, seuls les mâles se risquent aux océans polaires.

La population mondiale de cachalots comptait plus d’ 1 000 000 individus et désormais estimés autour de 350 000 soit environ 65% de diminution ! Le statut IUCN est classé vulnérable. Les menaces sur les cachalots sont :

  • la chasse intensive : jusqu’au XX ème s. surtout, qui a inspiré le roman Moby‑Dick (Spermaceti, huile de cachalot, ambre gris, ivoire).
  • la chasse traditionnelle : la viande et les rites. Au Japon, sa viande est encore beaucoup consommée !
  • la pêche : les pêcheurs ne ciblent pas les espèces que le cachalot mange ; Mais l'enchevêtrement dans les filets de pêche, l’ingestion des débris marins et les collisions avec les navires sont un fléau

  • la pollution chimique

  • la pollution sonore (pêche & tourisme) : très sensibles aux bruits causés par les activités humaines.

Le grand cachalot est un superprédateur qui joue un rôle majeur dans le milieu marin, en régulant notamment les populations de pieuvres et de grands calmars. Véritable puits de carbone, il remonte des profondeurs, via les excréments, de la matière organique et des oligo‑éléments dont 400 000 T. CO2. Et en renforçant le « recyclage du fer », dans la zone australe, il contribue aussi à permettre et entretenir une importante chaîne alimentaire. Comme sa densité est plus faible que celle de l'eau, le cachalot mort flotte à la surface. Ainsi, il ne participe pas ou peu à la création d'écosystèmes éphémères créés par les carcasses de baleines qui tombent sur la plaine abyssale.

Protégeons les cachalots aussi pour le climat 

La baleine à bec

La baleine à bec est un cétacé à dents, contrairement aux baleines, mais pas non plus un delphinidé. Il appartient à la famille des ziphiidae et ressemble à un très gros dauphin. C’est un animal discret, observé assez rarement, malgré sa taille bien imposante (4 à 13m) et un poids jusqu’à 10 tonnes. Elle a un rostre long et fin qui prolonge leur tête bulbeuse. Elle se nourrit essentiellement de calmars.

Elles vivent en haute mer dans tous les océans, souvent seules ou en mini‑groupes de deux ou trois. Elles sont peu étudiées car elles vivent généralement loin des côtes, dans les eaux profondes et sortent peu de temps de l'eau uniquement pour respirer. On les estime à 21 espèces. Si la tendance de population des baleines à bec était classée comme inconnue sur la liste rouge de l'UICN, cette étude va probablement directement les faire monter au rang d'espèce en voie de disparition. Les principales menaces :

  • la pollution sonore (exploration gazière et pétrolière, sonars navals…) : très sensibles aux bruits causés par les activités humaines.

  • les prises accidentelles dans des engins de pêche, la pollution sonore

  • la pollution chimique

Les baleines à bec jouent un rôle écologique prépondérant dans les écosystèmes marins. En tant que prédateurs, ces cétacés régulent les populations de poissons, contribuant ainsi à l'équilibre des espèces sous‑marines. Leur grande taille et leur régime alimentaire les positionnent en tant que régulateurs naturels, capables d'impact significatif sur leurs proies.

Protégeons les baleines à bec pour réguler les ecosystèmes 

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Le requin

De la classe des poissons cartilagineux, les requins sont des vertébrés aquatiques à branchies, grâce auxquelles ils respirent sous l’eau. Les branchies leur servent à filtrer l'oxygène de l'eau. Le requin voit dans l'obscurité mieux que le chat, il sent 10000 fois mieux que les humains, a un sens gustatif très développé et une excellente ouïe. Il est capable de percevoir les moindres différences de pression et détecter les champs électriques de leurs proies.

Les requins sont présents dans tous les océans, les eaux tropicales chaudes, les mers tempérées et les mers polaires, près de la surface, mais également à des centaines de mètres de profondeur, près des côtes, ou en pleine mer. Il existe plus de 500 espèces de requins mais 60 % des requins pélagiques sont actuellement en danger d’extinction et 1/3 des espèces de requins océaniques sont aujourd'hui menacés. Les principales menaces sont :

  • la pêche industrielle (surpêche) et le braconnage alimentent le trafic illégal. L’alimentation, la maroquinerie, la pharmacie et les cosmétiques.
  • la pêche accessoire 
  • une mauvaise réputation, méconnaissance et proximité des deux plus gros prédateurs du monde vivant s’intensifie et génère plus de conflits
  • la pollution de l’habitat
  • la captivité : aquarium

Les requins captivent l’imaginaire collectif. Avec sa mâchoire puissante, le requin fait peur et fascine à la fois. Il n’est pas omnivore mais a déjà attaqué l’homme involontairement et cela s’intensifie à cause de la suractivité humaine et le shark feeding. Les représailles, peurs infondées… « justifient » des massacres par les hommes. Or, seulement 5 espèces sont potentiellement dangereuses pour l’homme : le requin tigre, bouledogue, marteau, blanc et longimane (ou océanique).

En tant que superprédateurs, les requins sont indispensables à leur écosystème. La disparition de ces prédateurs‑clés qui trônent tout en haut de la chaîne alimentaire aurait de lourdes conséquences pour les écosystèmes marins. Leur vaste répartition est le résultat d’une longue évolution qui s’explique par la parfaite adaptation de chaque espèce à sa « niche écologique ». Apparu il y a 400 millions d'années, il a su s’adapter et a influencé nos océans, influençant le comportement des différentes espèces de poissons.

Agissons pour sa préservation et Communiquons sur l’importance de sa survie.

Le requin baleine

Il fait partie des requins mais nous souhaitions le distinguer car il se distingue des autres espèces de requins par bien des manières. Il est le plus grand poisson au monde et peut‑être, un des plus vieux habitants de nos océans. Ce géant marin est inoffensif et peu farouche avec les humains. Il mesure environ 10 m et peut peser 30 tonnes. Il se nourrit principalement de plancton, d'algues et d’animaux microscopiques qu'il absorbe par sa large bouche.

Il se rencontre dans les mers ouvertes et les océans tropicaux et chauds. Sa durée de vie est estimée entre 100 et 150 ans.

Aujourd’hui, l’espèce est "en danger” à cause de :

  • la réduction de son habitat
  • la pollution
  • les collisions
  • le commerce alimentaire dont l’huile issue de son foie, aileron, chair pour la médecine chinois 
  • le dérangement, à cause du tourisme non responsable, du trafic maritime

Mais des programmes de conservation se mettent en place notamment grâce à l’écotourisme. 

Contribuons à les protéger en collaborant avec des partenaires éthiques, locaux et protégeons leur environnement.

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Les Açores

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La raie

Appelée aussi diable de mer, majestueuse et ondulante, la raie est gracieuse et semble presque humaine. Célèbre, la raie manta est le poisson au plus gros cerveau. Elle peut atteindre 9m. d'envergure et 2 tonnes et son corps possède 2 grandes « ailes » et une tête relativement plate. Il existe plus de 500 espèces et sous‑espèces : raie léopard, modula, aigle tachetée, à queue courte, pastenague, brune ou papillon... et bien sur la manta, la plus grande. Les 2 espèces de raies mantas se nourrissent par filtration : elles nagent la bouche grande ouverte, aspirant le zooplancton et le krill, qu'elles tamisent à travers les rangées de minuscules râteaux qui bordent leur bouche, appelées plaques branchiales. Dans les eaux peu profondes, il lui arrive de sauter hors de l'eau ou d'en frapper la surface avec ses pectoraux. Les raies mantas peuvent vivre jusqu'à cinquante ans et vivent seules ou en petits groupes, et se rassemblent généralement pour se nourrir. Elles sont considérées comme des prédateurs et chassent dans les profondeurs. Elles ont une capacité indiquant une fonction cognitive et une mémoire à long terme très élevée, tout comme les dauphins, les primates et les éléphants.

Ces créatures marines vivent dans les eaux océaniques tropicales, subtropicales et tempérées du monde entier. Un tiers de ces espèces sont menacées d'extinction dont les 2 espèces de raies mantas sont classées comme vulnérables par l'UICN. Elles sont principalement menacées par :

  • la surpêche, pour leur chair mais aussi la médecine chinoise
  • la pollution marine
  • les raies ont une reproduction lente et sont sensibles à la pression humaine

Depuis 2011, les raies mantas sont protégées dans les eaux internationales par la Convention sur les espèces migratrices. Et plusieurs pays, dont l'Équateur, le Pérou, le Mexique, les Philippines et la Nouvelle‑Zélande ont interdit leur pêche. De même que l'Indonésie qui investit sur le tourisme : une seule raie peut générer jusqu'à un million de dollars au cours de sa vie, alors qu'elle ne vaut que 500 dollars morte.

Continuons à protéger les raies de la surpêche.

La tortue marine

Il existe 7 espèces de tortues marines dans le monde : la tortue Luth (la plus grosse), la tortue verte (la plus répandue), la tortue imbriquée ou de caret, la tortue caouanne ou Caretta caretta, la tortue olivâtre, la tortue de kemp (la plus rare) et la tortue plate (en Australie).

Depuis plus de 150 millions d’années, les tortues marines ont occupé nos océans et ont surmonté toutes les crises climatologiques. Les tortues marines sont des reptiles qui respirent l'air et qui ont donc des poumons. Elles doivent donc régulièrement faire surface pour respirer. Elles passent la majorité de leur temps sous l'eau et doivent donc pouvoir retenir leur souffle longtemps. La durée de la plongée dépend en grande partie de l'activité et de leur espèce (de 5 à 40 minutes sous l'eau), et une tortue de mer endormie dépense moins d'oxygène et peut rester sous l'eau pendant 4 à 7 h. 

Les tortues de mer se nourrissent d’algues, de végétaux marins, de crabes, de coquillages, de méduses, de moules et de petits poissons. Présentes dans tous les océans du monde à l'exception de l'océan arctique, certaines parcourent des distances phénoménales, effectuant de véritables migrations, entre leur source de nourriture et leur lieu de ponte. On raille souvent la lenteur des tortues, pourtant, parmi les différentes espèces marines, certaines sont capables d’atteindre une vitesse pouvant s’élever à 35 km/h. Grâce à leurs pattes antérieures semblables à des nageoires, elles se déplacent rapidement dans l’eau.

Aujourd’hui, 6 (sauf la tortue verte) sur 7 espèces sont menacées à cause de :

  • le braconnage (commerce, mets local) : surtout les œufs
  • les accidents
  • le plastique
  • la pollution

Les tortues marines sont des animaux incroyables qui jouent un rôle crucial dans les écosystèmes marins. Protéger ces créatures et leurs habitats est essentiel pour préserver la biodiversité des océans. En mangeant les méduses et les éponges, les tortues imbriquées nettoient les coraux et permettent à une riche biodiversité d’exister. En se nourrissant d’herbes marines, les tortues vertes entretiennent le fond marin et limitent l’apport d’azote aux racines des herbiers avec une influence positive sur les écosystèmes.

Découvrez de fabuleux espaces marins et participez aux programmes de protection en les observant avec respect

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Le marsouin

Le marsouin était autrefois appelé « cochon de mer » mais aussi « dieu des mers ». Les marsouins sont de petits cétacés à dents, plutôt noirs sur la face dorsale supérieure, et blancs sur la face ventrale inférieure. Mesurant de 1,5 à 2,5 m de long, ils sont moins facilement observés que les dauphins, car ne sautant pas (ou rarement) hors de l'eau. Ils s'approchent toutefois volontiers des navires et des côtes, peuplant la plupart des côtes tempérées et froides du globe. Les femelles sont souvent plus grandes et plus lourdes que les mâles (environ 15 %). Leur poids étant relativement faible, de 40 à 170 kg selon les espèces et leur taille, leur corps perd plus rapidement sa chaleur dans l'eau que celui les autres cétacés, ce qui les oblige à manger souvent et à compter sur leur réserve de graisse. Ils se déplacent seuls ou en petits groupes, sauf aux périodes de reproduction et pour chercher de la nourriture (100 individus). Ils peuvent plonger environ 6 minutes et à une vitesse de 7 km/h juste sous la surface de l'eau. La vocalisation joue un rôle primordial dans le comportement des marsouins, qui disposent d'un spectre sonore très étendu. On estime à 25 ans leur espérance de vie. 

S'ils sont encore, et de loin, les cétacés les plus répandus, leurs effectifs tendent à régresser. Ce qui pose davantage problème est la survie de certaines populations régionales. La population mondiale compte encore plusieurs centaines de milliers d'individus globalement. Seules quelques sous‑espèces ou populations sont en danger d'extinction : par exemple, en mer Baltique, on estime l'effectif dans la partie ouest de 800 à 2 000 individus, et pour la partie est entre 100 et 600 individus. L’UICN considère cette population comme vulnérable.

Les raisons de ce déclin tiennent à :

  • la pollution marine
  • la (sur)pêche accessoire par les pêcheurs et les baleiniers : trop petits pour être d'intérêt, ils sont fréquemment accidentellement capturés dans les filets où ils se noient ou se blessent
  • la chasse aux cétacés par les baleiniers 
  • la captivité en delphinarium 

Le marsouin est protégé par les lois de protection de la Nature et figure à l'annexe II de la Convention de Washington. La ré‑introduction, le transport et la mise en captivité sont interdits au titre de la législation de l’Union Européenne. L'espèce est aussi protégée par la convention de Berne et par la directive européenne Habitats. Les commissions Ospar et Helcom engagent leurs états signataires à limiter la pollution des océans qui empoissonne et déséquilibre le sommet de la pyramide alimentaire.

Protégeons mieux les milieux marins

L’orque

L’orque est le plus grand des delphinidés et vit dans les régions glaciaires jusqu’aux mers tropicales. Son régime alimentaire : poissons ou grands mammifères marins (lions de mer, phoques, morses, baleineaux). Les orques ont des comportements sociaux forts et complexes  qui en font des animaux très intelligents et de super prédateurs grâce à des techniques de chasse sophistiquées. D’où leur surnom : « baleine tueuse ». Dernier maillon de la chaîne alimentaire dans les océans, les orques font partie des mammifères les plus répandus dans le monde.

Certaines populations locales sont menacées ou en voie d’extinction à cause de :

  • la disparition de leur habitat
  • la pollution : c'est l'espèce marine qui présente la plus forte concentration de PCB dans le sang, malgré leur interdiction, mais aussi nuisances sonores, micro plastiques…
  • la captivité en delphinarium 
  • la compétition alimentaire avec l’industrie de la pêche

La moitié des épaulards a diminué rapidement.

En liberté, les orques sauvages ne sont pas une menace pour l'Homme, certaines s'approchent même d'établir un contact. Mais, en captivité, on déplore de nombreux accidents dont mortels (volontaires envers leurs dresseurs). Le documentaire Blackfish dénonce les conditions dont elles souffrent et ces conséquences déplorables.

Protégeons les, l’avenir des océans en dépend !

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Le beluga et le narval

Le béluga et le narval sont des cétacés. Ils n'ont pas de nageoires dorsales mais une couche graisseuse qui les isole du froid. Le beluga est entièrement blanc adulte, alors que le narval devient noir. Le beluga dispose d'un des sonars les plus sophistiqués de tous les cétacés. Ce sonar lui est indispensable pour s'orienter et se repérer dans les canaux de glace immergés, qui forment un véritable labyrinthe. Le narval ou « licorne des mers » a une particularité qui lui a valu ce surnom : la canine gauche du mâle s'allonge pour donner la «corne». Chez la femelle, les 2 dents restent à l'intérieur de la boîte crânienne. Cette dent est un organe de détection sensorielle extrêmement sensible qui permet à l'animal de percevoir les différences de pression, de salinité, ou de température. D’apparence rigide, elle est en fait flexible et peut se réparer ! Les naissances du beluga ont lieu au printemps (un seul petit) et le narval en juillet. Le narval vit jusqu’à 50 ans alors que le béluga vit en moyenne 70 ans !

Surnommés tous 2 « canari des mers », ils sont capables d'émettre un large éventail de sons et certains seraient en mesure d’émettre des sons dont la ressemblance avec la voix humaine est frappante. Ce sont des animaux très sociables qui se déplacent en groupes, jusqu’à plusieurs milliers d'individus chez les belugas. Ils vivent dans l’Océan Arctique (Mer de Beaufort, baie d’Hudson, mer de Behring,…) et dans l’estuaire du Saint‑Laurent. Les narvals ne vivent que dans les régions arctiques, en constante migration; et exceptionnellement, dans certaines embouchures. On peut aussi voir des belugas en Alaska et en Norvège.

La population des bélugas s'est stabilisée autour de 100 000 individus alors qu’on estime à la moitié chez les narvals, et en diminution constante. Le beluga et le narval peuvent s'hybrider en « narluga », résultat du réchauffement climatique et pourrait conduire à leur perte. Les menaces pesant sur les bélugas et les narvals varient selon leur habitat :

- Sur le fleuve sur le Saint‑laurent et dans la baie d’Hudson (rivière Churchill) :

  • la pollution chimique causant des maladies incurables
  • la pollution sonore et les collisions : augmentation du trafic maritime et surtourisme avec des bateaux toujours plus gros et nombreux
  • la pêche : au flétan, qui crée un manque de ressources alimentaires  

- sur des zones plus isolées :

  • l'utilisation de brise‑glaces
  • le réchauffement climatique engendrant une augmentation de la glaciation de surface des eaux (baie de Baffin), emprisonnant certains narvals 
  • la chasse (en diminution) : pour la viande et l’ivoire, non réglementée chez les populations autochtones du Grand Nord.

La faible sensibilisation visant à enseigner aux Inuits une gestion sensée des populations de narvals a été mise en place.

Adoptons un tourisme responsable avec des bateaux de petite taille !

Le morse

Le morse est un pinnipède, l’un des plus imposants. Il n’appartient pas à la famille des phoques et est parfaitement reconnaissable à ses défenses. Son allure massive avec un poids jusqu'à 2 t. et une longueur de 6 m. (un peu moins pour les morses) est spécifique aux mâles. Pour les 2 espèces, le dimorphisme est très marqué avec les femelles (entre 2 et 3 fois moins). Il est dépendant des eaux peu profondes mais peut supporter des températures allant de −35 °C à 15 °C, il vit sur les blocs de glace ou icebergs dérivants.

ll y a 2 espèces de morses : celui de l’Atlantique et du Pacifique. Ils vivent dans l’océan arctique, le Nord Atlantique et la mer de Béring (Nord Pacifique). Les espèces vivant dans le Pacifique étant plus grandes.

Le morse est classé par l'UICN vulnérable à cause de sa population d'Atlantique et dans la mer de Laptev inférieure à 30 000 individus (contre 200 000 en Pacifique). Les principes menaces sur ces espèces sont :

  • la chasse commerciale/ illégale (pour sa graisse et l'ivoire de ses défenses) et illégale, pour le morse 
  • la surpêche
  • le réchauffement climatique : la surface et l'épaisseur de la banquise a atteint des niveaux exceptionnellement bas. Or, le morse a besoin de cette glace, notamment pour la mise‑bas et les regroupements en colonies (morts par écrasement)
  • les catastrophes environnementales 
  • la pollution marine telles que les marées noires 
  • la pollution sonore casant le dérangement des colonies
  • la viande de brousse et traditions

La légalisation « réglementée » de la chasse au morse et l’abattage de plusieurs centaines de morses chaque année (Groenland et l'Est du Canada) n’aident pas des populations atlantiques fragiles numériquement. Seuls aux USA, le morse est protégé par le MMPA.

Protégeons le morse est une espèce clé des écosystèmes marins de l'Arctique

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Le dugong et le lamantin

Le lamantin et le dugong sont proches de l’éléphant. Surnommés vaches de mer, ces siréniens sont exclusivement herbivores.

Le museau du dugong est particulier, il se termine par une petite trompe élargie, cette bouche mobile dont la lèvre supérieure est en forme de disque est donc parfaite pour brouter les fonds marins. Il ne possède pas de nageoire dorsale mais une large queue en demi‑lune et seulement 2 petites pattes avant. Il peut mesurer jusqu'à 4 m et peser jusqu'à 900 kg. Sa peau est lisse et recouverte de petits poils. De couleur grise, plus il vieillit, plus sa couleur devient foncée. 

Les lamantins peuvent peser 600 kg, pour une longueur jusqu’à 4m. Ils ont des petits yeux. Leur lèvre supérieure, très souple, est préhensile. Ils l'utilisent pour recueillir la nourriture en vue de la manger, ainsi que pour les interactions sociales et la communication.

Les lamantins ont un museau plus court que les dugongs. La nageoire caudale du dugong, contrairement à celle du lamantin en forme de palette arrondie, est de forme triangulaire et présente un sillon médian. Chez le lamantin, la queue est plate, de forme arrondie et plutôt large (ex : castor). La queue du dugong ressemble à celle des cétacés comme le dauphin. Contrairement au dugong, le lamantin doit boire quotidiennement de l’eau douce. On le retrouve donc plutôt dans l’embouchure de fleuves. 

Parfois joueurs, parfois craintifs, ces siréniens sont menacés. Selon l’UICN, le lamantin est une espèce menacée «vulnérable» et le dugong aussi au niveau mondial et “En Danger” en Nouvelle‑Calédonie (UICN).

  • la proximité, surtout pour le lamantin qui le rend vulnérable face aux pressions humaines (interactions proches, collisions…)
  • la chasse et le braconnage
  • la pêche dont accidentelle
  • la dégradation des milieux, notamment des herbiers marins

Des plans d’action ont récemment été mis en place pour leur retour car ils jouent un rôle majeur dans leur écosystème.

Le dugong participe au brassage des fonds marins ce qui contribue directement à l'épanouissement de la végétation et au développement de la faune locale. Le lamantin est un animal intrinsèquement lié à son environnement, il n'a pas une grande capacité d'adaptation et vit dans des eaux se situant entre 25°C et 30°C avec une salinité d'environ 35g/l. Il sert donc d'indicateur sur son environnement et peut refléter la santé globale des écosystèmes marins.


Continuons à préserver leur habitat en contribuons au développement d’aires protégées et mouillages écologiques.

Le manchot et le pingouin

Les manchots et pingouins sont des oiseaux marins. Le pingouin vit dans l’hémisphère nord et le manchot au sud.

Les ailes des manchots ne servent pas pour voler mais très adaptées à la nage et la plongée. Il peut mesurer plus d’un mètre et peser 40 kg et leur masse chute après la reproduction. Son alimentation se compose essentiellement de poissons, mais peut comprendre des crustacés comme les krill et céphalopodes. Les manchots sont classés en 18 sous‑espèces : le manchot papou, du Cap, empereur… Le plus grand, le manchot empereur, est endémique à l’Antarcrique. Le dos et la tête sont noirs et le ventre blanc, le haut de la poitrine jaune clair ; deux marques jaune vif au niveau des oreilles sont très visibles.

Le pingouin vole et cherche sa nourriture (poissons et crustacés) dans les eaux maritimes et océaniques froides. Il vit en colonie et environ 15 ans. Il mesure de 0,35 à 0,45 mètre et peut peser de 500 à 750 grammes. Les pattes sont emplumées jusque très bas mais les doigts sont nus, probablement parce qu'ils servent de gouvernail avec la queue. 

Plusieurs espèces de manchots, dont l’emblématique manchot empereur, sont en voie d’extinction. Les manchots du Cap sont les derniers du continent africain. Ils font l'objet de nombreux programmes de conservation. En 2 siècles, leur population a chuté de 95%.

Les grands pingouins ont disparu et la population de pingouins est estimée à 700 000 couples et diminue. 

Les menaces sont :

  • des changements climatiques qui modifient leur environnement
  • la pollution (mazout, plastique...)
  • la pêche
  • le stress lié à la suractivité humaine

Les manchots sont des animaux importants pour les écosystèmes polaires et subpolaires. Ils sont des prédateurs de haut niveau et jouent un rôle important dans la chaîne alimentaire. Les manchots sont également une source d’intérêt pour la recherche scientifique et le tourisme responsable.

Les petits pingouins jouent un rôle majeur pour l'écosystème arctique en transportant des quantités importantes de nutriments de la mer vers la terre.

Préservons leur habitat et faisons de l’environnement un enjeu prioritaire pour les sauver.

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Le phoque et l’otarie (ou lion de mer)

Ils se ressemblent mais ont quelques différences physiques (oreilles, nageoires). Ils sont très joueurs et aiment l’interaction avec l’homme. 

Le lion de mer est également appelé otarie. Dans cette famille, on distingue les lions de mer d'une part et les otaries à fourrure de l'autre (plus connues sous le nom d'ours de mer).

Phoques moines, phoques gris, phoque à fourrure, léopard de mer, phoque de Weddell, du Groenland et l’éléphant de mer appartient à la famille des phoques et le plus imposant de toutes les sous espèces de phoques.

Le phoque moine vit surtout en Méditerranée (Grèce). Le veau marin, lui, a une petite tête ronde enchâssée et un cou moins mobile, contrairement à celui du phoque gris, très dégagé et beaucoup plus flexible. Le phoque gris a un museau allongé, alors que le veau marin arbore un museau en pointe avec des narines qui forment un "V.

L’éléphant de mer est un phoque qui a développé un nez en forme de courte trompe qui leur a valu son nom. Il plonge profondément (+ de 2000 m.). ll y a 2 espèces d'éléphants de mer : celui des mers du sud et du nord. Ils fréquentent les mers australes (Patagonie, Îles Malouines, îles Kerguelen, Crozet, Heard) et la côte pacifique nord‑américaine (Alaska, Californie, Basse Californie).

On dénombrerait environ 110 000 éléphants de mer à l’état sauvage. Il n’est pas menacé. La population mondiale d’éléphants de mer du Nord est même en hausse. Le phoque moine n’est plus en voie d’extinction mais il reste classé «en danger» sur la liste de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Les phoques annelés et barbus sont menacés. 

Les principes menaces sur ces espèces sont :

  • les effets du changement climatique (fonte des glaces)
  • la pollution
  • la pêche industrielle et accessoires (« accidentelles »)
  • le braconnage : chasse (fourrure)
  • les conflits en ressources et la proximité avec les hommes : fermes à saumons, ressources de nourriture qui attirent les phoques mais les animaux sont ensuite massacrés par les producteurs. Un vrai conflit humain animal est à l’origine de nombreux massacres, rien qu’en Ecosse. 

Heureusement, des initiatives locales tentent de les protéger (tanières artificielles). La limitation du réchauffement climatique sera déterminante dans la survie de ces espèces. 

Protégeons notre environnement pour les protéger et engageons‑nous pour relever le défi environnemental

Le corail

Le corail est un ensemble d’animaux, fixés et caractérisés par un exosquelette calcaire (dur) ou protéinique (mou). Il en existe 2 types : anthozaires «ou « coraux noirs » et hydrozoaires ou « coraux de feu ». Ils sont généralement des colonies de polypes qui se regroupent pour former des superorganismes. Chaque polype sécrète son propre exosquelette et forme ainsi un « squelette colonial » plus important et durable. Les coraux stricto sensu ou « vrais coraux », sont les coraux bâtisseurs de récifs. On en estime le nombre d'espèces à environ 800. Ils ont formé par accumulation de ces squelettes durs des récifs coralliens dont certains sont devenus les plus grandes structures complexes connues créées par des organismes vivants : les grandes barrières de corail (uniquement dans les zones au dessus de 20°C et peu profondes).

Les 4 plus grands récifs coralliens du monde sont situés en Australie, en Nouvelle Calédonie, au Bélize et en Floride (Dry Tortugas). Le plus ancien est Papouasie Nouvelle Guinée (baie de Kimbe) et concentre 60 % de la biodiversité corallienne. Des pays comme l'Indonésie, les Philippines, les Maldives possèdent également des parts importantes des coraux mondiaux. La France, par ses régions d'outre‑mer, concentre 10 % des coraux mondiaux, ce qui en fait le 4e pays corallien au monde (et le seul présent dans tous les océans). Cependant, certaines mers froides (Scandinavie, GB, Nouvelle‑Écosse, péninsule ibérique) hébergent aussi des récifs coralliens, qui sont des récifs dits « d'eau froide », très profonds, à corail non photosynthétique et à développement extrêmement lent. Ces récifs sont très poissonneux. 

La Grande Barrière de Corail a perdu plus de la moitié de ses coraux. Idem pour les récifs coralliens du monde, et 60 % des survivants sont en danger à cause de l'homme (surtout en Asie du Sud). Les populations de corail se dégradent en raison de plusieurs facteurs :

  • le changement climatique : hausse des températures, acidification, érosion, …
  • la pollution (crème solaire, plastiques, …)
  • les lésions anthropiques (coups accidentels)
  • la surpêche et la pêche à l’explosif
  • le développement des zones portuaires, canaux…
  • le trafic illégal pour la fabrication d’objets : d’art, bijoux … (corail rouge)

Les colonies de coraux sont des espèces fondatrices de premier plan et jouent un rôle ecosystémique majeur : ils constituent un habitat incroyable pour de très nombreuses autres espèces. De nombreux coraux vivent en symbiose avec des végétaux (zooxanthelles, phytoplanctons). Une hypothèse a été mise en avant : une relation dynamique plus forte qu'on ne le pensait entre les coraux et leurs communautés microbiennes symbiotiques ; en modifiant sa composition, le corail et toute sa communauté symbiotique pourrait s'adapter à des conditions environnementales changeantes ou à des attaques microbiennes bien plus rapidement. Certaines espèces de coraux s’adaptent donc mieux à l’augmentation des températures, développent un meilleur système immunitaire : une « tolérance médiée par l'expérience ».

Protégeons le corail, animaux emblématiques de la vie marine, sans qui rien n’est possible sous l’eau.

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